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 - L'HISTOIRE DE LA FRANCE.

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Bleu de Lys
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MessageSujet: - L'HISTOIRE DE LA FRANCE.   - L'HISTOIRE DE LA FRANCE. EmptyMer 4 Mai - 15:03

histoire francaise.
⊰ luxury has no price.
L’histoire doit maintenir vivante la vie.


Avant 1548 : Si très tôt les communautés de sorciers du monde entier en vinrent à se rassembler en communauté, sous la protection du fameux proverbe voulant que l’union fasse la force, il n’en fut rien pour la communauté magique française.
De ce temps où la France moldue était encore surnommée « la fille ainée de l’Église », la cohésion et la solidarité entre les familles sorcières françaises n’était qu’un doux rêve chimérique. Alors que la religion régentait la vie des moldus, elle impactait aussi énormément celle des sorciers. La peur de la délation, même entre sorciers, était plus forte que tout. Ainsi l’on essayait par tout moyen de dissimuler la magie qui coulait dans ses veines, apprenant dès le plus jeune âge aux enfants à contrôler et à cacher leur dons, à l’abri des regards dans les demeures familiales.
Tout comme il n’existait pas à proprement parler de société magique à la française, le Paris magique était assez peu développé et se cantonnait à quelques échoppes et apothicaireries dissimulées aux yeux des non initiés aux mystères de la rue Broca, qui inspira, par la suite, bien des légendes.

1548 : C’est à l’arrivée de Marie Stuart, reine et sorcière de son état, à la cour en tant que reine de France que les différentes familles de sorciers commencèrent réellement à se côtoyer, quelque peu rasséréné par la présence à la tête de leur pays d’une sorcière bien connue. Bientôt toutes les familles sorcières françaises envoyèrent à la cour royale des représentants, s’insinuant peu à peu dans l’entourage de la jeune reine, qui découvrant l’étendue de cette société magique française, eut alors l’idée d’importer de Poudlard l’idée d’une école de magie. Si son projet n’aboutit pas, son retour prématuré en Ecosse mettant fin à toutes ses ambitions, elle reste encore aujourd’hui une figure importante de la France sorcière. Sous son influence, les familles de sorciers les plus importantes en vinrent à unir leurs enfants, garantissant ainsi la pérennité de leur lignée et de leur magie et donnant naissance aux premiers sorciers « sang-purs » de France bien que le terme ne fut jamais réellement usité de ce côté de la Manche. Ce furent ces familles qui en vinrent à former, bien des années plus tard, la noblesse française sorcière dont quelques lignées perdurent encore aujourd’hui.

1679 – 1682 : L’affaire des poisons secoue la cour de Louis XIV et relance une période de « chasse aux sorcières » après une période relativement calme au sein de la société magique. Tout commença par la dénonciation de Marie Madeleine d’Aubray, potionniste reconnue et membre éminent de la cour royale moldue par une de ses concurrentes, jalousant la renommée grandissante de la marquise.
Cet incident eut pour effet de réanimer les tensions et la méfiance au sein des familles sorcières, tensions que la venue de Marie Stuart avait pourtant atténuée pendant plus d’un siècle. La trahison règne alors, chaque famille dénonçant et plaçant des éléments compromettant chez leurs rivaux qui se voit alors condamnés et exécutés dans le plus grand des secrets. Les familles sorcières françaises voient ainsi leur nombre diminuer de façon considérable et fuient alors à la fois Paris et Versailles où certaines d’entre elles avaient infiltré la noblesse moldue.
En 1682 fut signé entre les patriarches de toutes les familles sorcière « l’acte de solidarité intersorciétal » prônant la solidarité entre les sorciers et l’interdiction de toute dénonciation de « crime de sorcellerie » aux autorités moldues. Ainsi, fut créer un premier tribunal officieux pour sorciers, afin que plus jamais ne se reproduise un tel massacre.

1774 : Marie-Antoinette devient reine de France et, s’installant à son tour à Versailles, découvre les idées de Marie Stuart pour une école de magie à la française. Celle que tous dans le monde sorcier surnomme encore aujourd’hui « La Grande Reine » décida de mener à bien le projet. Devenant la première directrice de l’école, elle eut pour idée d’installer celle-ci au sein de même de Versailles, pour plus de discrétion. Cette situation qui n’était alors que provisoire dura pourtant dans le temps et, encore aujourd’hui la cour sorcière de France de même que l’école de Beauxbâtons partagent le luxueux palais avec les nombreux visiteurs moldus.

1789 : Si la reprise de la création de la fameuse école de magie de Beauxbâtons par la reine Marie-Antoinette, se fait développer le Paris magique de manière exponentielle. C’est suite à la Révolution Française moldue de 1789, sonnant le déclin de la toute puissance Église catholique sur le territoire, que se met réellement en place une société magique à la française basée sur l’égalité des statuts de sang et une véritable coopération entre les différentes familles, les idées de la Révolution trouvant aussi une résonnance jusque dans les tréfonds de la France magique. Les créatures magiques dotées de raisons, autrefois considérées comme des parias se voient accorder les mêmes droits que les sorciers.
Si jamais le statut de sang ne fut réellement considéré par les sorciers français, la Révolution banni définitivement l’usage de tels qualificatifs. La considération du rang social, quant à lui, ne disparu cependant jamais réellement et se vit même exacerbé à la mise en place de la monarchie parlementaire sorcière suite à la mort de la Grande Reine.
Les rentrées des jeunes élèves à Beauxbâtons s’enchainèrent et il devint alors évident que chaque famille ne pouvait garder pour soit son savoir faire. Ainsi, l’Académie fut le moteur de l’économie sorcière alors à ses balbutiements. La nécessité de fournir à chaque élève des fournitures afin de suivre sa scolarité poussant les familles sorcières à se rapprocher pour finir par former une véritable communauté. Les boutiques s’ouvrirent par centaines sur la rue Broca et, quand il fut évident que cette dernière était bien trop étroite pour accueillir une population magique chaque année plus importante, les sorciers envahirent également la rue Mouffetard faisant du cinquième arrondissement de la ville, et plus ancien de la capitale, le lieu de prédilection des sorciers français mais aussi étrangers.
Malgré son émergence tardive, l’on peut aujourd’hui sans conteste affirmer que le Paris Magique est l’un des poumons économique de l’Europe sorcière.

1792 : Malgré le climat tendu chez les moldus, l’Académie de Beauxbâtons participe à son premier Tournois des Trois Sorciers. Si le résultat pour l’équipe française n’est guère remarquable, l’objectif premier est quand à lui fièrement rempli : placer l’école française sur le devant de la scène magique européenne.

1793 : Quand résonna le cris des corbeaux accompagnant le son tranchant de la guillotine mettant fin à l’excentrique vie de Marie-Antoinette, tous les sorciers de France se retrouvèrent orphelins. Si jamais le fonctionnement de leur société n’avait été clairement établit, ils se rendirent tous compte à ce moment que Marie-Antoinette était aussi leur reine et qu’il leur faudrait donc lui trouver une remplaçante. C’est à l’ouverture du testament de la Grande-Reine que vit le jour la coutume voulant que la directrice de Beauxbâtons soit aussi la reine de la France sorcière. La reine ayant décidée de nommer une de ses meilleures élèves comme son successeur à la tête de l’Académie, il fut décidé que cette brillante sorcière deviendrait la seconde reine des sorciers de France et son époux, le premier roi. Ainsi, commença le règne de Mathilde et Ghislain Ier et avec eux, celui de la lignée Listenois mais aussi le régime de gouvernance sorcier, encore d’actualité aujourd’hui.

1798 : La famille Leroy, petits bourgeois de campagne, monte pour affaire dans la capitale où, face au succès de leur boutique, ils décident de s’implanter définitivement. Après seulement quelques années, une de leur puissante relation et client très fidèle, les introduits à la cour où ils se voient anoblis alors que leur lignée se lie alors à celle des Listenois.

1901 : Le roi Sylveste et la reine Perrine décèdent tout deux d’une étrange maladie magique, disséminant depuis quelques années déjà la population sorcière. En l’absence d’héritier, la lignée alors tout à fait éteinte, en l’absence de testament, Charles Ier de la maison Leroy s’autoproclama roi de France. Si le scandale tout comme la suspicion fut grande (comment une simple famille de bourgeois ont-ils pu se hisser jusqu’au sommet de la hiérarchie sorcière en un siècle ?), les autres familles nobles se soumirent bien vite de peur de perdre, comme toutes celles qui avaient osée contredire un peu trop fort cette prise de pouvoir, leur titre de noblesse.

1970 – 1981 : Première guerre des sorciers,  alors que Lord Voldemort et ses mangemorts font régner la panique en Grande-Bretagne, la France décide d’envoyer ses meilleurs chevaliers (aurors français) à l’aide de leur voisin. Les renforts n’arrivèrent cependant jamais, ont retrouva près de deux cents corps sur les côtes anglaises, tous tué à l’aide du sortilège de mort. Si l’on soupçonna un membre éminent du gouvernement français de traitrise, jamais aucune preuve ne put être apportée. La France reprochant à la Grande-Bretagne de ne pas avoir pris les précautions nécessaires pour assurer la sécurité des renforts, s’ensuivit une période de relations tendues entre leur deux puissances.

1983 : Nicolas Leroy, alors âgé de vingt-trois ans, monte sur le trône.

1994 : Second Tournoi des Trois Sorciers, si le ressentiment envers le Perfide Albion est encore grand, la reine accepte cependant l’invitation mais préfère ne pas se rendre en personne à Poudlard et nomme Olympe Maxime comme sa représentante. Si la fin tragique du Tournoi parvient à unir pour quelques temps les trois écoles, le sentiment ne dure toutefois pas.

1995 – 1998 : Seconde Guerre des Sorciers,  la France refuse d’envoyer des chevaliers à l’aide de sa voisine, ne comprenant de plus pas les enjeux de cette guerre et la hiérarchisation des sorciers sur laquelle elle s’appuie. Toutefois, les frontières de la France magique restent ouvertes, afin de permettre aux volontaires de prêter main fort aux anglais et aux réfugiés de trouver une terre d’asile en hexagone.

2006 : Création du premier Tournoi Intercontinental Magique sous l'influence française afin de favoriser le dialogue et la coopération magique internationale. Les épreuves se déroulent sans incidents à l'Académie de Beauxbâtons et Paris devient, le temps d'une année, la capitale sorcière mondiale.

2016 : Beaucoup vous dirons que rien n'a changé au sein de la bonne France magique, mais les plus observateurs ne peuvent que constater la tension qui règne peu à peu au sein de la capitale. Si ce n'est pour quelques disparitions dont personnes ne s'inquiète, les sorciers étant naturellement tête en l'air et imprévisible, tout semble bien trop calme. Et comme tout un chacun le sait, le calme précède toujours la tempête, et celle qui approche ne saurait charrier que les ténèbres.
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