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 The solitude is a short-lived thing. -> Libre

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Genesis d'Ambroise
Genesis d'Ambroise

MALLE SECRETE DU SORCIER

baguette
: Si une baguette défini merveilleusement bien son propriétaire, la mienne est un peux le reflet de mon âme. Faite en bois de noyer noir, elle possède en son cœur du venin de gorgone et mesure 31,5 cm montrant ainsi ma personnalité assez forte. Baguette rugueuse et rapide, je vous laisse imaginer de quoi elle est capable lors d'un combat.
patronus: Souvent assimilé à la mort, mon patronus se dévoile sous l'apparence d'un grand corbeaux aussi noir que le néant lui-même. Beaucoup pourraient penser que cet une image étonnante mais qui se marie parfaitement bien avec ma personnalité, alors que d'autres, eux, craignes le pire en imaginant cet animal porte-malheur aux significations bien sombres.
amortentia: L'odeur d'une fraîche matinée assimilée au sang frais coulant d'un corps sans vie après une bataille sanguinaire dans un champ de coquelicot sauvages.
cercle royal
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MessageSujet: The solitude is a short-lived thing. -> Libre   The solitude is a short-lived thing. -> Libre EmptySam 14 Mai - 23:45


The solitude is a short-lived thing.
Sujet libre




Six heure trente du matin. Heure habituelle, matinal qui laisse les rayons du soleil éclairer les extérieurs magnifiques de Beauxbâtons. Le sommeil m'avait quitté, me laissant un goût amère d'impuissance face aux obligations qui se faufilaient à l'horizon, me ramenant à la triste réalité de ma condition. Le sang-bleu coulant dans mes veines n'était pas pour me plaire. J'avais longtemps repoussé cette échéance de mariage, d'attachement, d'union éternelle. Malheureusement, le destin est souvent bien cruel, s'amusant de nos faiblesses, se moquant de nos envies, de nos espoirs. Une fois de plus je me retrouvais là, courant sous le ciel légèrement éclairé par la fraîcheur matinal du soleil levant. J'essaye d'oublier l'espace d'un instant, de quelques minutes, de quelques heures ce qu'en quoi sera fait demain. La sentence allait bientôt tomber sur mes fortes épaules, m'enchaînant à une femme que je n'aimerais probablement jamais. Je contourne la grande fontaine magnifique, laissant mon corps s'arrêter après plus d'une heure de course endiablée. Mon tee-shirt me colle à la peau alors que la transpiration s'écoule doucement de divers pore de ma peau, laissant quelques frissons s'emparer de moi. Je m'arrête, les mains sur les genoux, la respiration haletante. Mon regard posé sur le sol, j'ai l'impression que mon cœur va radicalement explosé. J'ai exagéré sur la cadence de ma course, comme essayant de fuir le diable en personne, j'avais plus sprinté que couru à une allure raisonnable. Je me redresse, une main sur ma hanche droite, le nez vers le ciel alors que la fraîcheur de l'aurore bien avancée vient me rafraîchir en silence. Déjà, je peux entendre quelques bruits au loin, annonçant le réveil de plusieurs élèves studieux qui se dirigeaient le ventre vide vers une nourriture agréable. Je suis censé aider le professeur que j'assiste cet après-midi, n'ayant pas un horaire chargé. Parfois, je me disais qu'il me ménageait à cause de cette noblesse de prince qui me collait à la peau. Futilité. Ici, je suis un homme comme un autre. Pas de couronne lourde, pas de famille royale, juste un prénom connu pour attiser les frissons et les réflexions. Genesis. La fin du commencement.

Un cri résonne au loin et je sursaute avant d'entendre des rires suivre cette mélodie affreuse. Encore des enfants qui ne cesses de vivre avec innocence. Au fond je les envie. Ils ne savent pas, ils ne comprennent pas. Un homme passe près de moi et me salue comme il se doit. Poliment, simplement, je lui offre un signe de tête alors que je tentais de reprendre mon souffle. Je finis par m'appuyer contre la fontaine me posant en son bord, laissant le calme m'apaiser l'espace d'un instant. Je n'ai pas envie de réfléchir à quoi que ce soit, je ne veux pas penser à l'inévitable. Pourtant, cette pensée s'impose à moi, se moquant bien de ce que je souhaite. Qui sera-t-elle ? Qui sera l'heureuse élue ? Celle avec qui j'allais devoir passer ma vie, partager une certaine intimité mais également prolongé la lignée d'Ambroise. Je n'en savais rien. J'avais promis à mes parents de ne pas opposé de résistance face à leur choix...j'aurais dû m'étrangler ce jour là. Les yeux rivés sur le sol, j’aperçois alors deux pieds se placer devant moi, interrompant ma solitude tant désirée. Je soupire. Passant une main dans mes cheveux, je lève mon regard vairon vers cette personne qui, semble-t-il, attendait que je porte mon attention sur elle. Je ne suis pas d'humeur polie, je ne suis pas d'humeur souriant. Comme souvent. Connu pour mes sautes d'humeurs, pour mon imprévisibilité, je n'en reste pas moins un prince avec une éducation digne de son rang.


© ACIDBRAIN
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Théa San Vara
Théa San Vara

MALLE SECRETE DU SORCIER

baguette
: dans le bois de la passion, l'abricotier, toute en fléxibilité et en solidité, et aile de fée.
patronus: jamais maitrisé, trop souvent échoué. et les souvenirs sont nombreux, très joyeux : alors théa ne comprend pas pourquoi. théa s'acharne et désespère parfois.
amortentia: l'odeur du théâtre, capiteux, poussière douce. Celle d'un homme, qu'elle ne retrouve pas parmis la foule. Et surtout, les effluves de l'Interdit.
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MessageSujet: Re: The solitude is a short-lived thing. -> Libre   The solitude is a short-lived thing. -> Libre EmptyLun 16 Mai - 15:16

ϟ craignez donc la fin de la solitude

La matinée a été douce, et l'air reste frais. Elle s'est éveillée sans crainte du jour, sans souffrir de la moindre obligation : les travaux maintes et maintes fois repoussés des semaines précédentes ont été fait la veille. Alors, goutant la liberté, ne se souciant que des quelques joies du quotidien, revêtant des habits estivaux, Théa s'est élancée vers ses livres. Effleurant du doigts les reliures abimées par la lecture distraite et entrecoupée de pauses, elle se mit en quête de la prochaine pièce à jouer. D'un auteur sorcier, semble-t-il : elle n'en a jamais entendu parler. Le titre est sobre et ne veut presque rien dire : D'un point à l'autre. Parait-il qu'il s'agit d'une gentillette comédie de quelques actes, jouant sur les codes établis par des vénérés dramaturges. Et malgré la modernité voulue par l'artiste, le tout reste en vers. Un mélange assez surprenant de quiproquos ridicules, de grandes questions philosophiques et de personnages aux farouches décisions. Le premier coup d'œil lui suffit, et se parant du même rouge à lèvre qui orne sa bouche depuis huit ans, elle se mit en quête d'un coin tranquille. Déambulant entre les beautés d'architecture, elle déclame les premiers vers. Et sans se soucier des regards parfois interloqués, moins souvent amusés des élèves croisés, elle s'en va vers les jardins.

Au coin d'une fontaine, trop ouvragée, trop fleurie – le parfum vient titiller son nez aux goûts grossiers, Théa prend place. La main caresse l'eau, frissonne puis vient se ranger au milieu des plis de sa longue jupe plissée. Quelques petites goûtes d'eau sur le rouge flamboyant. Si le premier coup d'œil lui valut un simple survol, et n'a attisé que de moitié son intérêt, voilà que son avancée est toute autre. Car, c'est avec grand plaisir qu'elle y découvre une critique de la société Française dissimulée avec brio ! Aussitôt, elle s'en détache pour mieux s'y imaginer. Ah, elle aussi serait capable de duper la noblesse sur les apparences ! De faire comprendre à chacun qu'il n'y a aucune différence ! Un petit sourire étire encore sa joie, et elle rêve encore un peu.

Et, de l'autre côté de la fontaine se tient un homme. Curieuse, elle jette quelques regards d'entre les jets, se qu'elle peut y discerner lui paraît familier. Elle fronce les sourcils, et se concentre. Un nom sur le bout de la langue, une vague idée. A... Antoine ? An... Albertin, sans doute ? Nullement découragée dans sa tentative, elle s'acharne encore jusqu'à s'en trouver satisfaite. Arthur ! Mais oui ! Le visage s'illumine, les petits pieds frétillent alors qu'elle saute sur ses jambes. Évidement, Arthur, ce gars adorable très amoureux de l'art, et sensible à toutes ses facettes. Théa s'en approche, heureuse comme une petite fille, jusqu'à se camper tout à fait devant lui. Depuis quand Arthur est-il si grand ? Elle balaie ce léger doute quand il relève la tête. Forcément que c'est lui ! Sans attendre plus longtemps, la jeune fille lui saute au coup. « Arthur ! Arthur... » Tant de joie dans la voix, tant d'entrain dans les gestes ! Une fois s'en étant détachée, elle ne lui laisse pas même le temps d'en placer une. « J'ai l'impression que ça fait des lustres qu'on ne s'est pas vu, toi et moi. Même aux autres du club, tu leur manques ! » Son sourire est atténué par un air de reproche. « Surtout qu'il nous faudrait ton avis sur la pièce finale, car quand même... La représentation est dans une semaine. » Théa, très dans son rôle, lui tape le bras avec vigueur pour appuyé ses propos. « Ohlala, surtout que ma scène de monologue, j'ai vraiment des doutes. » Un soupir. « Tu m'as toujours dit d'être moi-même, mais j'ai vraiment du... Du mal à la cerner. »
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: Si une baguette défini merveilleusement bien son propriétaire, la mienne est un peux le reflet de mon âme. Faite en bois de noyer noir, elle possède en son cœur du venin de gorgone et mesure 31,5 cm montrant ainsi ma personnalité assez forte. Baguette rugueuse et rapide, je vous laisse imaginer de quoi elle est capable lors d'un combat.
patronus: Souvent assimilé à la mort, mon patronus se dévoile sous l'apparence d'un grand corbeaux aussi noir que le néant lui-même. Beaucoup pourraient penser que cet une image étonnante mais qui se marie parfaitement bien avec ma personnalité, alors que d'autres, eux, craignes le pire en imaginant cet animal porte-malheur aux significations bien sombres.
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MessageSujet: Re: The solitude is a short-lived thing. -> Libre   The solitude is a short-lived thing. -> Libre EmptyLun 16 Mai - 21:35


The solitude is a short-lived thing.
Sujet libre




« Arthur ! Arthur... » What ? Je me retrouvais avec deux bras m'entourant, me serrant à pratiquement m'étouffer. D'instinct, j'avais écarté les bras en essayant de ne pas m'écrouler dans la fontaine sous l'entrain de cette jeune inconnue. Non mais elle se foutait de ma gueule. Depuis quand on enlace un Prince de la sorte ? Puis, je la connais même pas cette fille...C'est qui Arthur ? Bon, elle semblait me confondre avec un autre. D'ailleurs, qu'elle ne me connaisse pas me surpris assez étant donné mon rang dans la société. C'était franchement très rare, d'ailleurs, ça ne m'étais jamais arrivé. Je fronce les sourcils face à cette étreinte que je n'appréciais absolument pas. Surpris, je reste sans voix en cherchant un moyen de me dégager quand elle fini par me lâcher. « J'ai l'impression que ça fait des lustres qu'on ne s'est pas vu, toi et moi. Même aux autres du club, tu leur manques ! » Au club ? Quel club ? Je ne suis plus élève depuis un an, ayant pris le rôle d'assistant professeur en grands efforts. Du coup, elle devait effectivement me prendre pour un autre. Je l'observe alors qu'elle me lance un regard pleins de reproches. Ouvrant la bouche pour répliquer quelque chose, elle ne me laisse néanmoins pas le temps d'en placer une, enchaînant directement. « Surtout qu'il nous faudrait ton avis sur la pièce finale, car quand même... La représentation est dans une semaine. » Et une tape sur l'épaule. Je me crispe et sursaute légèrement, nullement habitué à ce genre d'approche si direct envers moi. Mais merde, elle joue à quoi ? Je regarde autour de nous, priant pour que personne ne voit cette scène, ça serait mal vu et la jeune femme risquais de gros ennuis. « Ohlala, surtout que ma scène de monologue, j'ai vraiment des doutes. Tu m'as toujours dit d'être moi-même, mais j'ai vraiment du... Du mal à la cerner. » Pitié, elle sait pas se la fermer deux secondes histoire que j'en place une ? Je croise les bras sur ma poitrine, me mettant à tapoter du pieds avec impatience. Je me sentais sortir de mes gonds et ce n'était pas une très bonne chose.

« C'est bon ? Vous avez fini ? Je peux en placer une ? » Avant qu'elle ne puisse ouvrir la bouche je lève la main « Shut... ». Mon regard plongé dans le sien, je baisse doucement la main, mais voyant sa bouche s'ouvrir de nouveau je la remonte. « Shut... » Je hausse les sourcils un regard assez dur et le visage fermé avant de me lever pour la surplomber de toute ma hauteur. Je suis loin d'être petit, dépassant le mètre quatre-vingt. Merci la génétique. « Déjà, mon prénom est Genesis et non Arthur. Je ne suis pas dans un club, je ne suis plus aux études et je suis p... » L'espace d'un instant ma cervelle se met en marche. Elle ne semble pas me replacer dans la monarchie et donc, j'avais une chance d'oublier mon titre de Prince l'espace de quelques instants... « ...professeur assistant de Grands Efforts. Donc, la prochaine fois Mademoiselle évitez les ébats d'affections. » Oui, d'accord, j'avais omi de dire que j'étais l'un des Princes de France, que j'étais de sang bleu, que je pouvais sans soucis lui en coller une que personne ne me dirais rien. Mais sur le coup j'avais juste envie d'être Genesis, professeur assistant de Beauxbaton. Étais-ce trop demandé ? Non. Je pousse un léger soupire passant une main dans mes cheveux, les replaquant vers l'arrière alors que mes yeux vairons ne se détachaient pas de la jeune femme. « Maintenant, puis-je savoir à qui ais-je l'honneur ? » Je la vouvoyais par habitude, après tout, j'étais son aîné et elle me devait clairement un certain respect même de par ma position dans l'établissement d'études.


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: dans le bois de la passion, l'abricotier, toute en fléxibilité et en solidité, et aile de fée.
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MessageSujet: Re: The solitude is a short-lived thing. -> Libre   The solitude is a short-lived thing. -> Libre EmptyMar 17 Mai - 20:39

ϟ craignez donc la fin de la solitude

La voix est sèche quand la sienne a été malice et joie. Autoritaire, ton expéditeur. Le vouvoiement glace l'enfant, et la main levée l'effet d'une réprimande maternelle. La bouche s'ouvre, pour être intimée d'être fermée.  Une seconde fois encore. Elle est perplexe, Théa : Arthur lui semble bien morose. N'est-ce pas le souffle de l'artiste, ce spleen dont parle Baudelaire ? En a-t-il marre d'être l'oiseau moqueur, chassé des marins ? Mauvaise augure constante sur la conscience tranquille ? Alors, elle se demande, quémande mais décide d'attendre. La réponse doit être dans ses mots. Hostile presque, sur la défensive. Il lui dit un autre prénom. Genesis : c'est assez sombre. Oh, c'est donc une crise identitaire qu'il lui fait là ? Une phase sombre qui guette celui qui s'inspire ? Les yeux bruns s'écarquillent quand il vient à croire qu'il est professeur assistant. Lui, fougueux jeune homme n'écoutant que la passion ? Théa s'alarme, comprend alors l'ampleur du désastre : le poids de la société. Et, il pousse la comédie jusqu'à l'oublier. Un lavage de cerveau peut-il être aussi efficace ?

« Ohlala, Arthur... » Le ton est désolé, et elle a la main sur le cœur. Elle recule d'un pas, pour mieux l'observer. Le regard est lourd de compassion. « Encore tes parents ? C'est indiscret mais... » Les lèvres rouges se tordent sous la gêne. « Je sais bien qu'ils veulent pour toi de grandes choses. Qu'ils aiment pas ton Art. » Jamais elle n'a pu comprendre ces deux adultes : comment peuvent-ils rester impassible devant les œuvres complexes d'un génie ignoré ? « Mais Arthur, ce n'est parce qu'ils te foutent la pression que tu dois renier qui tu es. » Et là, s'allume dans ses yeux la flamme de l'argumentation, de l'aide à son prochain. Elle attrape les épaules d'Arthur – Genesis s'il veut ! Avec ses petites mains, et promet de ne pas en démordre. « Que c'est pas leur connerie de plan sur la comète qui fait que t'as plus le droit d'être Arthur. Pour moi tu seras toujours Arthur, et pour moi tu auras toujours du talent. Et c'est pas un job d'assistant à la noix qui va te permettre de t'épanouir. » Pauvre homme qu'elle aimerait prendre de nouveau dans ses bras. Pauvre homme qui se fait prendre pour un autre ! Il est plus facile de broder que de se confronter à la vérité. « Et puis, change  pas de prénom. Arthur c'est beau. Genesis ça fait vieux dépressif qui se prend pour l'Antéchrist. » Une énième tape amicale, avant qu'elle rompe le contact. Elle tente un sourire, et de détendre l'atmosphère. « Sincèrement, comment tu peux oublier ta Théa ? » Et, après un mouvement théâtral de cheveux, un compliment subtilement glissé : « La plus grande comédienne de tous les temps, non ? »
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MessageSujet: Re: The solitude is a short-lived thing. -> Libre   The solitude is a short-lived thing. -> Libre EmptyMer 18 Mai - 20:40

Play with me
⊰ Genesis & Théa.
The solitude is a short-lived thing

« Ohlala, Arthur... » Non mais avait-elle un soucis avec les prénoms ? Était-elle attardée mentalement ? Si c'était le cas j'étais vraiment dans la merde, n'ayant pas l'habitude de garder mon calme plus d'une dizaine de minutes. D'ailleurs, quand je devais aider le professeurs de grands efforts avec les élèves, inutile de dire qu'ils en chiaient pas mal. Je détestais qu'on se foute de ma gueule. Pourtant, la jeune femme semblait sincère et prit même soin de mettre sa main au niveau de son cœur, le regard presque étonné voir choqué. J'avais envie de la secouer, de lui mettre la tête dans la fontaine mais avouons que ça aurait été assez mal vue sur le coup...peut-être qu'elle avait été touchée par un sortilège de conneries hein. « Encore tes parents ? C'est indiscret mais... Je sais bien qu'ils veulent pour toi de grandes choses. Qu'ils aiment pas ton Art. » Je passe une main sur mon visage, un air vraiment exaspéré planté dans mes yeux. Mais de quoi me parlait-elle ! Déjà je n'ai jamais été dans le club pour exploiter un art quelconque. Bon, j'étais extrêmement sportif et donc avait passé ma scolarité à approcher le sport ainsi que divers branches de combats dans divers matières. Mais jamais, au grand jamais je n'avais été dans un autre club que ce qui demandait un minimum d'efforts physique. « Mais Arthur, ce n'est parce qu'ils te foutent la pression que tu dois renier qui tu es. » Je vais la trucider...non mais réellement. Je vais la couper en petite rondelle, la donner à bouffer à mes loups et ensuite prétexter un accident regrettable. Bon, d'accord, je n'allais pas le faire mais ce n'était pas l'envie qui me manquait, clairement. Non mais...elle va arrêter de me toucher oui ! Je m'étais de nouveau crisper alors que ses mains se posaient sur mes épaules. C'est quoi cette foutue proximité. « Que c'est pas leur connerie de plan sur la comète qui fait que t'as plus le droit d'être Arthur. Pour moi tu seras toujours Arthur, et pour moi tu auras toujours du talent. Et c'est pas un job d'assistant à la noix qui va te permettre de t'épanouir. »

C'est bon, j'arrête de l'écouter sinon je vais vraiment finir par tomber mort devant autant de conneries. Elle continue à parler et m'offre une nouvelle tape amicale et je finis par reculer de plusieurs pas. Autant m'éloigner d'elle histoire de ne me recevoir une nouvelle embrassade ou que sais-je encore. Non mais si on me voyais aussi proche d'une élève je risquais d'attirer des soupçons. Puis, je n'étais absolument pas d'humeur à m'amuser avec elle. Elle continue de parler, m'offrant un geste de cheveux me laissant entendre son prénom. Théa. Bo, jamais entendu parler. Puis, elle c'est regardée dans une glace avec son prénom à deux balles ! D'où elle critique le mien ! « Et bien, pour le prénom, sincèrement, Théa ça ressemble à rien non plus. Navré mais on dirait Thé ou Tais-toi...Genesis ça a au moins une signification, mais soit, plaignez-vous à mes parents pour ça. » J'étais clairement en train de perdre patience. « Merci de cesser de me toucher et surtout je ne suis pas Arthur. Puis, c'est quoi ce prénom de l'ancien temps, franchement ! Et c'est quoi votre problème ? Vous êtes altérée mentalement, ou encore, vous avez été touché par je ne sais quel sortilège ? Au pire je vais vous envoyer à l'infirmerie pour une visite... » Je recule d'un pas quand je la vois esquiver un mouvement vers moi. Ah non, distance oblige merci bien ! Plus d'accolade, plus d'embrassade. Fini tout ça hein, je suis pas un nounours merde ! 
code appartenant au forum bleu de lys, merci de respecter.
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