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 (antosis) blood like gasoline

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Antonin Rousseau
Antonin Rousseau

MALLE SECRETE DU SORCIER

baguette
: Il possède une baguette qui le défini pour le mieux. Taillée dans du bois de rosier, elle a en son coeur du sang d'hydre, fait 36.2 centimètres et est rapide et rugueuse.
patronus: Evidemment qu'Antonin Rousseau a réussi à faire apparaître son patronus. Symbolique de mort et de la renaissance, l'animal est souvent assimilé à la nuit, avec une connotation de malheur ou de mort. Il s'agit en effet d'une chave-souris, bien plus grande et imposante que la normale.
amortentia: Une odeur de feu brûlant mélangé avec une odeur de fer, une odeur de sang.
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MessageSujet: (antosis) blood like gasoline   (antosis) blood like gasoline EmptySam 21 Mai - 0:14


BLOOD LIKE GASOLINE
antosis

Rien, strictement rien. Non, Antonin n'avait rien foutu de toute sa journée si ce n'était câliner Blood, son adorable chat noir et blanc, et si ce n'était songer à ce qui avait pu se passer ces derniers temps dans sa vie. Ce qu'il y avait eu avec cette blondasse, cette gosse, avec Tanya, ce qu'il y avait avec son grand-frère, et qui au passage le faisait sourire parce qu'il savait qu'il dominait d'une certaine façon dans cette histoire, ou le fait même que l'objet de ses désirs ne lui donne pas de nouvelles par rapport à ses fiançailles. Oh, et ça c'était la chose qui l'énervait. Et ça l'énervait d'une haine tellement noire, tellement sombre, tellement brûlante qu'elle surpassait tout ses autres sentiments. Même le sourire sur ses lèvres disparaissait quand il pensait à sa propre haine. Il y avait quoi exactement ? Est-ce que des fiançailles avaient suffit pour que son prince, le sien, s'entiche d'une autre double pétasse comme celle qui était sa promise ? Dans le fond, Antonin espérait que ce ne soit pas le cas. Et si ça l'était, il se serait débrouillé pour lui retirer cette femme. Si lui, Antonin, ne pouvait pas l'avoir lui, Genesis, alors pourquoi quelqu'un d'autre pourrait l'avoir ?

Alors bien entendu, Antonin avait finit par lever son cul de son matelas, il avait poussé avec une douceur sans nom la bête qui était allongée sur son torse et s'était foutu sur ses pieds. Et il s'était lui-même regardé, dans son pyjama tortues ninja recouvert de poils de chats. On le voyait bien le noble là, extrêmement bien même. Seulement, il avait en projet d'accéder au palais royal pour aller voir son jouet personnel, qu'il désirait maintenant et tout de suite ou après quelques explications, alors il avait quitté son merveilleux habit pour d'autres qu'il portait en journée. Et soyons francs, ils étaient beaucoup moins confortables que le sublime tissu recouvert de la tête de la tortue Raphael. Et finalement, il s'était rassit sur son propre lit. Une flemme intense commençait à entrer dans son propre corps, et sur le coup il aurait vraiment aimé pouvoir faire apparaître Genesis là, devant lui, pour l'attirer sur son lit et lui demander des explications en l'attachant à la tête de ce dernier. Oui parce que dans le cas où on l'aurait oublié, Antonin était légèrement instable mentalement.

Et c'est finalement habillé correctement et enfin debout qu'il était sorti de l'incroyable baraque des Rousseau. Les Rousseau, les plus riches du pays, et on se demande encore comment ça se fait qu'ils soient proches de la royauté ? Foutaises. Mais ça l'arrangeait bien par contre, Antonin. Parce qu'Antonin il avait cette addiction, cette attirance, cette obsession pour ce chieur de Genesis. Et comme si ça suffisait pas, ça semblait même pas être réciproque. Mais on l'avait prévenu pourtant. Les princes, c'est comme un poison. Voilà que ça entre en toi sans que tu t'en rendes compte, que ça te brûle les veines jusqu'à ce que tu te les fasses saigner, et sans même que tu puisses faire quoi que ce soit tu deviens déjà accro à la sensation qu'il te donne. Et c'était exactement ce qu'il s'était produit avec Antonin. Il avait fait l'erreur de goûter à Genesis, à ce poison, à cette drogue qu'il voulait maintenant encore et encore, tout les jours et de plus en plus. Comme s'il était drogué à ses lèvres et empoisonné par son toucher.

Et c'est comme ça qu'il avait finit par entrer dans le palais royal. Son beau sourire lui avait permit d'entrer, et puis de toute façon il était le meilleur ami d'un D'Ambroise, il avait toujours permission de tout. Et ne pas oublier son nom, non plus. C'était un Rousseau, il ne valait mieux pas le vexer si on voulait avoir de l'argent après tout. Et il avait avancé dans les couloirs, jusqu'à une chambre qu'il connaissait assez bien. Et il avait frappé contre la porte, une fois doucement en prononçant le nom du propriétaire de cette pièce « Genesis.. ». Et en ayant aucune réponse, il avait finit par s'impatienter et par frapper plus fort, une fois. Plus fort, deux fois. Et finalement il avait mit un coup de poing contre la porte avant de parler d'un ton encore une fois très calme, un sourire aux lèvres « Genesis, ouvre cette putain de porte, j'vais pas faire semblant de sourire encore longtemps. Y faut qu'on parle. ». Et là oui, vraiment, ça sentait mauvais. Pour qu'Antonin soit énervé au point de frapper une pauvre porte aussi brutalement tout en parlant aussi calmement, il fallait le faire. Mais en soit, Genesis n'avait rien fait pour ça. Il ne lui avait pas donné de nouvelles, il ne lui avait pas parlé. Oui, voilà le problème : il n'avait rien fait.

861 MOTS - POST 1
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Genesis d'Ambroise
Genesis d'Ambroise

MALLE SECRETE DU SORCIER

baguette
: Si une baguette défini merveilleusement bien son propriétaire, la mienne est un peux le reflet de mon âme. Faite en bois de noyer noir, elle possède en son cœur du venin de gorgone et mesure 31,5 cm montrant ainsi ma personnalité assez forte. Baguette rugueuse et rapide, je vous laisse imaginer de quoi elle est capable lors d'un combat.
patronus: Souvent assimilé à la mort, mon patronus se dévoile sous l'apparence d'un grand corbeaux aussi noir que le néant lui-même. Beaucoup pourraient penser que cet une image étonnante mais qui se marie parfaitement bien avec ma personnalité, alors que d'autres, eux, craignes le pire en imaginant cet animal porte-malheur aux significations bien sombres.
amortentia: L'odeur d'une fraîche matinée assimilée au sang frais coulant d'un corps sans vie après une bataille sanguinaire dans un champ de coquelicot sauvages.
cercle royal
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MessageSujet: Re: (antosis) blood like gasoline   (antosis) blood like gasoline EmptySam 21 Mai - 0:40


BLOOD LIKE GASOLINE
antosis

Non, mais en vrai j'étais carrément à l'ouest. Les fiançailles ne cessaient de me bouffer de l'intérieur, alors qu'au fond, la pauvre Athénaïs n'avait rien demandé pour que je sois aussi salopard avec elle. Bon, je n'en avais rien à foutre de sa jolie gueule d'ange, la seule chose qui pouvait clairement m'intéresser était sa virginité que j'allais lui prendre avec plaisir. C'est qu'ils ont pas été chercher la plus moches. Mais à part ça, elle n'avait rien à foutre dans ma vie. Puis, il y avait Alexandre et ses crises de jalousies déplacées. Sérieusement, il m'avait jeté comme une vieille chaussette et osait revenir dans ma vie comme ça, sans demander l'autorisation. Non, non, non, ça ne fonctionne pas ainsi. J'avais eu la visite d'Angélique il y a deux jours et notre conversation avait longtemps tourné autour de mon meilleur ami, amant, drogue, double, Antonin Rousseau. Depuis l'annonce de mes fiançailles je le savais tendu, assez sur les nerfs pour péter un plomb au moindre faux pas. Inutile de dire que je ne souhaitais pas que ça arrive, connaissant le phénoménale Rousseau, je craignais clairement le pire. Pour moi ? Non, pour les autres. Moi, j'adorais le voir en colère, ça éveillait en moi cette jouissance hors du commun, cette sensation sombre de psychopathe en série. Nos nuits de jambes en l'air étaient loin d'être douces, avouons-le...mais c'était ce qui me faisait frissonner, il était le seul avec qui je pouvais partager cette sauvagerie sans me sentir coupable.

Je m'étais éveillé assez tard, restant ma tronche dans ma chambre, prétextant ne pas me sentir très bien. Mes parents avaient souhaités faire venir Angélique ou Léandre pour me soigner, j'avais refusé disant que j'avais simplement besoin de repos. Faux. Je voulais juste rester seul et me morfondre dans mes couvertures. Enfin...Une douche s'imposait quand même, parce que bon, je n'apprécie pas vraiment garder cette odeur de transpiration sur le corps. J'avais donc filé sous la douche après avoir glandé durant de longues heures, lisant un livre que j'avais d'ailleurs bientôt terminé. Oui, je lis, je suis même un accro aux bouquins. Et alors ! J'emmerde ceux qui se foutraient de ma gueule...ils n'oseraient pas d'ailleurs. J'entre dans ma douche laissant mon boxer traîner sur le sol, dormant en sous-vêtements depuis des années, ne supportant pas porter de pyjama. Le bruit de la douche couvrit le premier coup à ma porte, néanmoins, les suivants furent beaucoup plus évident. De plus en plus puissants, de plus en plus violents et je sursaute au dernier. Non mais c'est quoi cette merde. Enfilant une serviette autour de ma taille, je reviens dans ma chambre au moment ou des paroles calmes s'élèves dans les airs, parvenant du couloir. « Genesis, ouvre cette putain de porte, j'vais pas faire semblant de sourire encore longtemps. Y faut qu'on parle. » ça pue...clairement. Je fronce les sourcils. Merde...ok, j'avais oublié de donner des nouvelles à Antonin. Grave erreur. Je connais mon meilleur ami, assez pour savoir que quand je ne donnais pas de nouvelles monsieur piquait une crise de sociopathe possessif. Puis, avec mes fiançailles ça avait dû le foutre en rogne plus qu'en général.

Je lève les yeux et ouvre alors la porte, faisant face à mon amant et meilleur ami. Meilleur ami depuis sept ans, amant depuis deux. Ne me demandez pas comment ça avait tourné ainsi entre nous, mais l'évidence même de cette relation m’explosait sans cesse à la gueule. Putain il est beau. Enfin...sauf avec ce sourire de merde sur le visage. Il entre dans la chambre et je ferme directement la porte. « C'est moi ou t'as boxé ma porte d'entrée ? T'as cru que c'était Noël Anto ? Non mais faut me le dire hein, sur le coup j'étais sous la douche tu vois...t'as l'air énervé beau gosse, t'as croisé la route d'une sale gueule ? » Ok, je tentais ouvertement de dévier la conversation, ne souhaitant pas spécialement m'expliquer sur mon silence et mes fiançailles. Mouai...avec lui je n'allais pas forcément y couper et j'en étais conscient. Je passe une main dans mes cheveux mouillés alors que je laisse la moquette se faire tremper par l'eau qui coulait de mon corps. « Tu viens prends une douche avec moi ? Histoire de te détendre, t'as l'air crispé comme un string... » Provocation ? Oui, un peux...je devrais peut-être fermer ma gueule et lui donner quelques explications. Mais non, je suis Genesis d'Ambroise et quand je suis en compagnie d'Antonin Rousseau je devins une vraie merde. Ce mec as cette emprise ultime sur tout mon être...c'est franchement malsain. Avec les années j'avais développé cette dépendance, cette cruelle dépendance envers le jeune Rousseau. Sentiments ? Sûrement, car si lui était sociopathe moi je n'étais qu'un psychopathe refoulé qui pouvait éprouver de l'amour, de l'excitation et des sentiments plus sombres. Hors, Antonin avait éveillé de nombreux sentiments en moi avec les années.

882 MOTS - POST 2
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Antonin Rousseau
Antonin Rousseau

MALLE SECRETE DU SORCIER

baguette
: Il possède une baguette qui le défini pour le mieux. Taillée dans du bois de rosier, elle a en son coeur du sang d'hydre, fait 36.2 centimètres et est rapide et rugueuse.
patronus: Evidemment qu'Antonin Rousseau a réussi à faire apparaître son patronus. Symbolique de mort et de la renaissance, l'animal est souvent assimilé à la nuit, avec une connotation de malheur ou de mort. Il s'agit en effet d'une chave-souris, bien plus grande et imposante que la normale.
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MessageSujet: Re: (antosis) blood like gasoline   (antosis) blood like gasoline EmptyDim 22 Mai - 0:56


BLOOD LIKE GASOLINE
antosis

Quand finalement Genesis ouvre la porte, Antonin n'attend pas une seule seconde pour entrer. Il avait cette folle envie de l'attraper pour le plaquer contre un mur et lui demander ce qu'il s'était passé pour qu'il ne daigne même pas lui adresser la parole. Qu'est-ce qu'il avait fait pour ça exactement ? Seulement il ne fait rien, il a cette impression que Genesis se fout de sa gueule qui lui monte clairement à la tête, il a cette envie de lui en mettre une aussi mais pour l'instant, et pour l'instant seulement, il se retient. Seulement Antonin c'était une bombe à retardement, il se retenait pour mieux exploser après. Alors il valait mieux que Genesis lui dise ce qu'il se passait dans son crâne avant qu'il ai à le demander, sinon ça allait vraiment mal se passer. Il regarde automatiquement Genesis, même qu'il vient juste de commencer à parler. Son sourire, qui s'était effacé précédemment, reprit place comme quelque chose de faux et de nerveux sur son visage. Là, ça sentait pas bon. « Moi, énervé ? Tu crois ? Tiens ouais, j'ai eu ouïe dire qu'un pauvre con de gosse n'a pas donné de nouvelles une seule fois à soit disant son meilleur ami après s'être fiancé. Mon dieu quel con. » Il avait levé les mains en affichant un sourire encore plus faux à ces derniers mots-là.

Et puis finalement il l'avait regardé de haut en bas et il avait soupiré, plus calme, en détournant le regard. C'était comme si d'un seul coup une sorte de sensibilité lui avait prit. Genesis était son point faible, de toute façon. Et puis ça, ça ne changerait probablement pas. Deux ans qu'il était réellement son point faible, et deux ans aussi qu'il était devenu cette sorte de psychopathe possessif avec lui, sans qu'il ne le veuille d'ailleurs. Passant sa main dans ses propres cheveux, Antonin finissait par passer sa main sur son visage, comme dérangé par la tenue de Genesis. « Et rhabille-toi putain, c'est pas possible de t'engueuler quand t'es comme ça devant moi. » Et là il ne contrôlait pas même les mots qui sortaient de sa bouche. Parce que c'était vrai quand même, comme ça il ne pouvait pas l'engueuler. Il avait envie d'autre chose, de chose qu'il n'avait pas envie de faire alors qu'autour tout le monde pouvait l'entendre.

Et finalement il s'approche du prince. Il s'en fou finalement du bruit que ça peut faire. Il s'en fou aussi de s'il est d'accord ou pas, Genesis. La seule chose qui importe, c'est que lui il en a envie. « T'aurais du m'appeler, me parler un peu. Tu sais très bien que sans toi j'fais des conneries en plus. Du genre séquestrer une blondasse du tiers-état dans ma cave, m'amuser à la frapper, à la torturer, tout ça. J'ai bien rigolé avec ça. Mais tu devrais peut-être me punir pour être un méchant garçon, non ? » Et là, là c'était à lui de le provoquer. Il avait glissé ses mains sur les épaules du jeune homme, contre sa peau qui était loin d'être sèche et il s'était léché les lèvres. Oui bon, c'était de la pure provocation, et encore plus maintenant qu'il se rapprochait un peu plus de lui, qu'il approchait ses lèvres des siennes. « Ou alors tu préfères baiser ta pétasse que moi, maintenant ? » Et là c'était de la pure jalousie, et ça se voyait dans ses yeux aussi. Il avait commencé à se dire qu'il préférait sa fiancée à lui, pour ne pas lui parler après s'être fiancé avec elle. Non, Antonin ne la connaissait pas. Mais oui, il la haïssait.

664 MOTS - POST 3
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Genesis d'Ambroise
Genesis d'Ambroise

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: Si une baguette défini merveilleusement bien son propriétaire, la mienne est un peux le reflet de mon âme. Faite en bois de noyer noir, elle possède en son cœur du venin de gorgone et mesure 31,5 cm montrant ainsi ma personnalité assez forte. Baguette rugueuse et rapide, je vous laisse imaginer de quoi elle est capable lors d'un combat.
patronus: Souvent assimilé à la mort, mon patronus se dévoile sous l'apparence d'un grand corbeaux aussi noir que le néant lui-même. Beaucoup pourraient penser que cet une image étonnante mais qui se marie parfaitement bien avec ma personnalité, alors que d'autres, eux, craignes le pire en imaginant cet animal porte-malheur aux significations bien sombres.
amortentia: L'odeur d'une fraîche matinée assimilée au sang frais coulant d'un corps sans vie après une bataille sanguinaire dans un champ de coquelicot sauvages.
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MessageSujet: Re: (antosis) blood like gasoline   (antosis) blood like gasoline EmptyDim 22 Mai - 1:32


BLOOD LIKE GASOLINE
antosis

Je l'observe calmement un léger sourire aux lèvres. Il est mécontent, je le sens bien et ça me donne envie de lui sauter dessus histoire qu'il puisse se calmer. Son sourire revient sur ses lèvres. Pas le genre de sourire qui rassure, non, le genre de sourire que je connais bien et dont je me méfie. Car même moi je sais ce dont il est capable. Des deux, niveau folie, il est le pire. Je savais posséder une certaine emprise sur le Rousseau, néanmoins, parfois, cette emprise me faisait carrément flipper autant qu'elle m'excitait à en crever. « Moi, énervé ? Tu crois ? Tiens ouais, j'ai eu ouïe dire qu'un pauvre con de gosse n'a pas donné de nouvelles une seule fois à soit disant son meilleur ami après s'être fiancé. Mon dieu quel con. » Il lève les bras au ciel et je lève les yeux. Non mais c'est bon, j'avais oublié...ou pas. Enfin, connaissant mon meilleur ami j'avais surtout évité de croiser sa route ses derniers temps, sachant qu'il ne devait pas apprécier la nouvelle. Puis, j'avais été franchement pris par mes obligations diverses. « Franchement, dis moi qui est ce con et je vais lui arracher les yeux...Mais peut-être que ce con avait des obligations et qu'il n'a pas eu le temps de faire quoi que ce soit. » Il me regarde de haut en bas en laissant échapper un soupire. Je hausse un sourcil et observe mes pieds en lâchant un « quoi ? » perplexe. Ben oui, Antonin l'avait déjà vu dans des tenues bien moins habillées, voir carrément sans tenues si vous voyez ce que je veux dire. Pourquoi ça avait l'air de le faire chier ? Je croise les bras sur mon torse alors qu'un léger frisson s'empare de moi. Faut dire qu'être trempé dans une pièce pas très chauffée – j'aimais pas la chaleur – ça n'était pas forcément agréable.

« Et rhabille-toi putain, c'est pas possible de t'engueuler quand t'es comme ça devant moi. » Je souris en coin face à ses paroles. Bon, j'aurais été à sa place j'aurais réagis exactement de la même manière. Aussi peut vêtu c'était impossible de s'engueuler, puis, nos engueulades elles finissaient toujours sans slips et dans une fougue brutale. « Ben ça me donne encore moins envie d'enfiler des habits... » Je ricane doucement en passant une main dans ma nuque, laissant mon ami jouer avec sa force mentale franchement douteuse. Il fini par venir vers moi et je ne bouge pas, le regard pétillant de ce malice qui ne cessait de m'envahir quand il était à proximité réduite. J'ai envie de lui. C'est certain. Comme toujours. Malgré le fait que d'autres pourraient nous entendre, qu'une quelconque personne tenterait d'entrée dans la chambre...Bref, il y avait pas mal de risques avouons-le. « T'aurais du m'appeler, me parler un peu. Tu sais très bien que sans toi j'fais des conneries en plus. Du genre séquestrer une blondasse du tiers-état dans ma cave, m'amuser à la frapper, à la torturer, tout ça. J'ai bien rigolé avec ça. Mais tu devrais peut-être me punir pour être un méchant garçon, non ? » Je sens sa main glisser sur mon épaule et je frissonne à ce simple contact. Ouai, en gros il avait encore fait le con. J'étais sûr qu'il ne me mentait pas, il avait vraiment torturé une blonde, il l'avait vraiment frappé. C'était dans son état d'esprit, il adorait ça et je me surpris à regretter de ne pas avoir été de la partie..parce que quand Antonin déclenche la noirceur en moi et bien, ce n'est absolument pas joli à voir et je deviens tout aussi incontrôlable que lui. Il était mon bouton ON, Angélique était mon OFF... « Mmmmm, je vois, tu n'as vraiment, mais vraiment pas été gentil... »

Je baisse les yeux vers sa main alors que je remontais doucement mon regard sur lui, l'observant se mordre la lèvre face à ses provocations. Son visage s'approche dangereusement du mien, j'adore ça. « Ou alors tu préfères baiser ta pétasse que moi, maintenant ? » Je lève les yeux au ciel, venant frôler ses lèvres avec les miennes, alors que l'une de mes mains vient se positionner dans sa nuque avec une poigne certaine, presque possessive. « Arrête, la pauvre chérie est encore vierge. Puis, tu sais bien qu'à choisir c'est toi qui passera avant tout le monde. » Je viens mordiller sa lèvre avec d'y déposer un baiser, alors que déjà, mes sens explosent brutalement en moi. Ce con avait le don de me faire perdre pieds. Je recule mon visage, l'observant avec amusement. « La jalousie te va bien Rousseau, mais tu sais bien que tu n'as rien à craindre d'elle. » Oui, d'elle, mais pas de lui...Je m'abstiens de lui dire que j'ai croisé la route d'Alexandre, je m'abstiens de lui dire ce qu'il c'est passé entre nous. J'aurais été suicidaire de le lui dire. Je fais glisser un doigt dans son cou, une petite moue boudeuse. « Tu veux toujours que j'aille me rhabiller ? »

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MessageSujet: Re: (antosis) blood like gasoline   (antosis) blood like gasoline Empty

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