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 ce soir à la lune | Genesis

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Athenaïs De Rugès
Athenaïs De Rugès

MALLE SECRETE DU SORCIER

baguette
: D'un peu plus de trente centimètre, trente-et-un centimètre dix-huit, la baguette d'Athénaïs est d'un bois de vigne lustré, symbole à la fois de grands idéaux et de superficialité, elle porte en elle le paradoxe que peut parfois incarné la jeune femme. Finement taillé, la baguette est, comme sa propriétaire, particulièrement élégante, pourtant, son cœur en corne de farfadet est tout à fait révélateur du caractère plaisantin de la jeune fille et ne lasse pas d'étonné son entourage.
patronus: Adorable et malicieuse, symbole de pureté mais pourtant bien sournoise quand on la croise à l'état naturel. Le patronus d'Athénaïs est une hermine. Petit animal aussi agile que délicat, malin qu'adorable. Elle apprécie grandement cette image d'elle que son patronus renvoi au monde.
amortentia: Le parfum du lilas et de l'herbe fraîche, l'odeur d'une journée d'orage et celle, légère et subtile, de l'air au printemps. Une odeur douce et naturelle.
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MessageSujet: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyLun 16 Mai - 13:35


Ce soir à la lune
Paris la belle s'étend à parte de vue, dédale de rue pavée, de sculpture délicate et d'odeur délicieuse. Ville lumière de nuit comme de jour où le soleil en dessine les ombres délicate. Ville enfant qui clame à la face du monde sa joie de vivre et son insolente insouciance, son arrogance et son mépris des conventions, sa soif d'élégance et de vie. Paris est une ville que tu as appris à aimer. Une ville qui t'effrayais enfant, dont tu te méfiais adolescente et dont tu ne saurais te passer maintenant que l'âge adulte vient te cueillir. Paris est un air de piano enjoué, le son de l’accordéon, une valse que tu as appris à danser. Devant ton père, au bras de ton cousin favoris tu te lance dans une joyeuse discussion. Conversation anodine dissimulant cette angoisse sourde qui fait battre ton cœur depuis ton réveil. Aujourd'hui tu le rencontreras officiellement, cet homme qui partageras ta vie, ce prince noir dont le monde entier semble se méfier... Ton oncle a officiellement prit partit contre cette alliance, mais que pouvait-il y dire ? Le puîné ne dirige pas la lignée et tu soutiens ton père dans cette décision. Ton cœur tendre pensant trouver un moyen d'apprivoiser cet homme sombre qui t'es destiné. Ta mère t'as livré mille et un conseil, angoissée de te voir partir au bras d'un homme plus âgée que toi, angoissée de t'imaginer livré à toi-même au milieu d'inconnu. Tu refuse d'admettre qu'une partie de ses peurs sont tiennes et tu avances bravement dans les rues de Paris. Insistant pour ce rendre à pied au palais, désireuse de profiter d'une journée de beaux temps pour arpenter la belle capitale. Ta robe en dentelle flottant doucement dans les courant d'air, tes cheveux sagement retenue en chignon. Tu te dois d'être irréprochable aujourd'hui, belle, désirable. Les premières impression sont les plus importante, la tienne doit être forte. Ta mère avait levé les yeux au ciel quand elle avait vu que la robe dénudais ton dos, tu n'en avait pas tenue compte. Un boléro noir suffisait à camoufler ta peau pâle et te permettrais de jouer de séduction si tu en avais besoin. Le soleil darde ses rayons et les rues de Paris offrent une animation délicieuse. Sur le bords de Seine nombre de personne vont et vienne, seule ou accompagnée... Tous semble vouloir profiter de la fin de semaine pour s'aérer. Tu les envies presque soudainement, alors que devant toi le palais royal se dresse.

Sagement vous pénétrez dans l'office. Te voilà devenue bien silencieuse alors que, quelques minutes à peine, tu riais joyeusement. On vous fait entrer, tu vois ton père échanger quelques mots avec un valet et l'on vous conduit dans un petit salon. La pièce est magnifiquement décoré et la vue sublime. Les jardins parfaitement entretenue, si différent de ton pays natale et de ta demeure familiale où les plantes pousse dans un chaos subtilement dirigé. Ton ventre ce serre, tu as peur. Comment rencontrer un homme dont tu ignores tout dans une situation aussi formelle ? Chacun tiendra son rôle, sagement, poliment. Tu réalise alors que tu ne veux pas que le chose se passe ainsi. Discrète tu te lèves, prétextant à l'oreille de ton père que tu pars en quête des commodités. Le plus vieux prétexte du monde quand on cherche à s’éclipse, le plus efficace. Il acquiesce « - Ne te perds pas, Athénaïs » Ton oncle ne se laisse pas aussi facilement prendre au jeu et fronce les sourcils. Qu'importe, tu es déjà sortie. L'odeur du parquet ciré, les sculptures... Il y a ici un raffinement que tu connais bien. Tu admire les lieux autant que tu déplore la distance qu'il met entre ceux qui dirige et le peuple qui les suit. Sur ton chemin quelques domestique s'éloigne, évitant ton regard, devinant probablement une hôte de marque. Le palais est immense, tu ignore comment diriger tes recherches et la tentation est grande d'explorer le palais. D'une fenêtre tu aperçois une écurie... Le dilemme se créé en toi, tu pourrais continuer de chercher se fiancé dans un dédale de pièce et de couloir ou bien partir à la rencontre des animaux que tu devines hors du commun. L'hésitation ne dure guère plus qu'un battement d'aile de papillon, tu t'envole déjà vers l'extérieur, aussi rapide que la discrétion et la bienséance te l'autorise. Dehors l'odeur du soleil et des chevaux l’accueil. Loin de te répugner, toi qui a l'habitude de t'occuper des bêtes sur ton domaine. Au mieux regrettes-tu de ne pas avoir de meilleurs chaussure et d'être obliger de faire attention à l'endroit où tes pieds se pose. Ton regard épouse l'architecture du lieu, tout semble si beau ici.

Doucement tes pas te mène devant un box occupé, l'animal relève la tête, curieux d'avoir une si soudaine compagnie. Ta main se tends pour le flatter et il souffle doucement apparemment satisfait de tes caresses. Tu as toujours aimer les chevaux, petite tu passait tout ton temps libre dans les écuries à monter et à t'occuper de ton poney. L'animal était au pâturage désormais, mais tu ne le délaissais pas pour autant, même si ta monture était à présent un Camargue blanc doux et docile. Le  temps pourrait s'arrêter que tu ne t'en rendrais pas compte, les animaux on toujours attirer ton attention comme du miel attirerait une abeille. Tu n'entends pas les bruits autours de toi et c'est presque surprise que tu constate que tu n'es plus seule dans la pièce. Il est là, non loin de toi. Tu n'as guère besoin de plus de quelques secondes pour le reconnaître, tu l'as déjà observer bien des fois à l'école. Depuis que l'on t'as informer qu'il partagerais désormais ta vie. Tu t'arrêtes, la main encore suspendue en l'air à mi chemin d'une caresse. L'hésitation s'esquisse dans ton regard. Comment l'aborder ? Que lui dire ? Tu n'avais guère prévu de le rencontrer au hasard, pas plus que tu n'avais penser à une phrase. Impatiente, tu provoques parfois des événement sans la moindre idée de ce que tu feras ensuite. Tu te reprend, un sourire peignant ton visage, illuminant tes yeux de noisette. Tu ne sais sourires sans le regards. Ce traître dévoilant souvent le fond de tes pensée. « - Altesse. » Que dire de plus ? Ignore-t-il encore qui tu es ? Peut être... Ce n'est pas une si mauvaise chose, cela pourrait même te permettre de comprendre un peu ce futur époux.
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Genesis d'Ambroise
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MALLE SECRETE DU SORCIER

baguette
: Si une baguette défini merveilleusement bien son propriétaire, la mienne est un peux le reflet de mon âme. Faite en bois de noyer noir, elle possède en son cœur du venin de gorgone et mesure 31,5 cm montrant ainsi ma personnalité assez forte. Baguette rugueuse et rapide, je vous laisse imaginer de quoi elle est capable lors d'un combat.
patronus: Souvent assimilé à la mort, mon patronus se dévoile sous l'apparence d'un grand corbeaux aussi noir que le néant lui-même. Beaucoup pourraient penser que cet une image étonnante mais qui se marie parfaitement bien avec ma personnalité, alors que d'autres, eux, craignes le pire en imaginant cet animal porte-malheur aux significations bien sombres.
amortentia: L'odeur d'une fraîche matinée assimilée au sang frais coulant d'un corps sans vie après une bataille sanguinaire dans un champ de coquelicot sauvages.
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MessageSujet: Re: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyLun 16 Mai - 15:35


Ce soir à la lune
Je me réveille en sursaut alors que deux pieds froids viennent se poser dans mon dos. Réveil difficile et brutale, car déjà, mon regard endormi se fige sur mon meilleur ami. « Debout votre altesse, c'est le grand jour. » Sa voix est ironique bien sur, je le sais, d'ailleurs, le visage d'Antonin est loin d'être joyeux et enjoué. Je ne le suis pas également. Pour toutes réponses j'enfouis tel enfant, mon visage sous les couvertures alors qu'il me pousse vers le bord de ce grand lit qu'était le miens. J'ai expressément demandé à ne pas être dérangé, pour cause, voir le jeune Rousseau nu sous mes couvertures aurait porté à polémique. Je grogne entre mes dents avant de finir face contre terre, enroulé dans mes couvertures. Non, décidément je n'ai aucune envie de me lever. Et pourtant...J'entends mon meilleur ami se lever pour s'habiller. Si jamais quelqu'un l’attrape en tenue d'Adam dans ma chambre je ne pourrais  pas prétexter la soirée pyjama, après tout, ce n'est plus de notre âge. « Lèves-toi Génésis, la Comtesse ne va pas tarder. » Qu'importe, qu'elle vienne, je n'ai aucune envie de croiser sa route. Mais soit, mes obligations passes avant tout et je daignes enfin lever mes fesses. « C'est bon je me lève...arrête de me presser. » Dis-je en me dirigeant vers la salle de bain, faisant un signe obscène à mon amant depuis deux longues années. Je files sous la douche et la porte d'entrée se referme délicatement. Il est parti, je le sais, pour ne pas attirer les soupçons sur notre relation. Le temps passe et je finis par m'habiller en tenue de cavalier. Une promenade matinale ne me fera aucun mal, puis, la Comtesse ne va pas s'évaporer du palais. Je me dirige donc vers les écuries alors que le soleil brillait au dessus de cette demeure que je partageais avec la famille royale, mais également plusieurs autres personnes. Serviteurs, famille, invités...L'animation était au rendez-vous. Quelques personnes me salues, d'autres baisses les yeux devant moi en signe de respect. Je n'y prêtes pas attention, cela m'importe peux. Je croise mon frère et ma sœur au coin d'un couloir. Discrètement je les évites, essayant ainsi de fuir une conversation bien trop longue et surtout basée sur ce futur mariage qui aura lieu. Non merci, j'en suis déjà fatigué d'avance.

Je presse un valet de sceller mon cheval, alors qu'avec une certaine impatience, je me dirige vers l'enclos où sommeils mes deux loups domptés par mes soins il y a de cela trois ans. Un cadeau de mon père pour mes vingt-cinq ans, connaissant ma passion des animaux sauvages, y ajoutant un tigre dont l'enclos le gardait en sécurité. J'ouvre les grilles métalliques en sifflant du bout des lèvres alors qu'au loin, déjà, je voyais deux silhouettes lupines filer vers moi. L'un était un mâle noir comme l'ébène prénommé affectueusement Jared, l'autre, une femelle, tachetée pie noir au regard bleu était plus discrète, Aphrodite. Je leur offre quelques caresses avant d'aller vers les écuries, les loups me suivant docilement comme toujours. Ils faisaient parties du décor, ils ne représentaient aucuns dangers tant que je ne leurs en donnais pas l'ordre. En silence je passes les portes lourdes, pénétrant dans ce long couloir qui abritait de nombreux chevaux aussi beaux les uns que les autres. Un valet me salue et s'approche de moi, respectueusement il m'annonce que la Comtesse est occupée dans les écuries, mais également, que mon étalon est scellé et près à partir. Super, elle tombait à pique... « Scellé la jument de ma sœur. » Ma voix est froide et sans vie, alors que calmement, je me remet en route vers cette fiancée qui n'aurait pas dû se trouver là. Et pourtant. Mon regard se pose rapidement sur la jeune femme qui bientôt partagera ma vie, mon lit, mon existence toute entière. Ça ne m'enchante guère. Je claque de la langue subtilement et mes animaux se figes à mes côtés, alors que, discrètement, je dévisage la Comtesse qui m'es promise. Elle remarque enfin ma présence et nous nous observons en silence. J'étais en train d'enfiler mes gants noirs en cuirs, laissant traîner mon regard vers le siens, sans émotions réelles. « - Altesse. » Je me stoppe dans mes mouvements. Ma bonne éducation exige que je réponde, que je me montre un tant soit peux poli. « Comtesse. Je ne m'attendais pas à vous voir dans nos écuries. N'étiez-vous pas censé m'attendre dans le petit salon avec votre père et votre oncle ? »

Je ne souris pas. Je n'en ressens pas l'envie ni le besoin. Je finis d'enfiler mes gants, détournant mon regard durant quelques instants. « Mais soit, vu que vous êtes là j'ai fais scellé un cheval en plus. Je suppose que vous savez monter à cheval ? Je vais demander à ce qu'on aille vous chercher une tenue plus...appropriée. » Point sympathique ? Bien sur. Je ne suis pas là pour lui plaire, je suis là pour l'épouser...Enfin soit. Je me tourne vers l'un des domestiques et je fais signe à celui-ci d'approcher, lui annonçant ma demande. « Allez me chercher l'un des pantalons d'équitation de la princesse d'Ambroise, sans traîner, je n'ai pas toute la journée. » Dis-je simplement alors qu'il s'inclinait pour partir au pas de course. Je reporte mon attention sur la jeune femme. Elle est jeune et réellement belle, je ne peux pas le nier.
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: D'un peu plus de trente centimètre, trente-et-un centimètre dix-huit, la baguette d'Athénaïs est d'un bois de vigne lustré, symbole à la fois de grands idéaux et de superficialité, elle porte en elle le paradoxe que peut parfois incarné la jeune femme. Finement taillé, la baguette est, comme sa propriétaire, particulièrement élégante, pourtant, son cœur en corne de farfadet est tout à fait révélateur du caractère plaisantin de la jeune fille et ne lasse pas d'étonné son entourage.
patronus: Adorable et malicieuse, symbole de pureté mais pourtant bien sournoise quand on la croise à l'état naturel. Le patronus d'Athénaïs est une hermine. Petit animal aussi agile que délicat, malin qu'adorable. Elle apprécie grandement cette image d'elle que son patronus renvoi au monde.
amortentia: Le parfum du lilas et de l'herbe fraîche, l'odeur d'une journée d'orage et celle, légère et subtile, de l'air au printemps. Une odeur douce et naturelle.
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MessageSujet: Re: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyLun 16 Mai - 18:14


Ce soir à la lune
Froid, direct... Il est tel qu'on te l'a décris. Un homme de caractère, sauvage et dur d'approche. Tu l'observe un moment, jaugeant ce  fiancé qui ne semble guère enchanté de ta présence. Les deux animaux qui l'accompagne, des loups, semble être parfaitement assortit à la sombre personnalité du prince. Tu les observe un moment, réprimant l'envie enfantine de t'en approcher. Tes mains aimerais pourtant tellement pouvoir se mêler à leur pelage... Malheureusement il serait plus que mal-venu de s'intéresser au compagnon du prince avant le prince lui-même. A contre cœur tes yeux se détache de deux canidés pour se fixer à nouveau sur celui qui partagera ta vie. « - Comtesse. Je ne m'attendais pas à vous voir dans nos écuries. N'étiez-vous pas censé m'attendre dans le petit salon avec votre père et votre oncle ?   »  Sourire malicieux. Aucune honte de ne pas être à ta place. Pourquoi attendre ? Tu n'avais pas envie d'attendre. Tu n'aime pas l'attente, c'est ennuyeux, rébarbatif... Tu ne supporte pas rester à la même place. « - L'on me dit souvent que j'ai un bien piètre talent pour accomplir ce que je suis censé faire si tôt que cela m'ennuie. » L'écurie est un bien étrange cadre pour une première rencontre et pourtant... tellement approprier, aux yeux de vos famille respective n'êtes-vous pas, vous-même, semblable à ces chevaux de races soigneusement sélectionner pour leur futur progéniture ? L'ironie de la situation te saute aux yeux, ne te déplaisant nullement. Il y a quelque chose de cocasse dans cette situation et cela te plaît. « - D'ailleurs, vous-même semblez bien décidé à nous faire attendre encore un peu... Pourquoi rester au salon alors ? Aussi charmant soit-il la diversité de la décoration reste moins intéressante que les chevaux et le soleil. » Ta voix n'est pas dépourvu d'un trait d'humour, léger et innocent. Qu'importe qu'il soit morose, tu n'es pas décider à subir ton avenir le cœur lourd. Quitte à ne pas avoir le choix, autant en tirer du plaisir... et cette alliance semble moins te déranger que lui.

Le jeune homme ne te laisse néanmoins guère longtemps l'initiative et te surprenant semble décider à s’accommoder de ta présence de la plus étonnante façon : « - Mais soit, vu que vous êtes là j'ai fais scellé un cheval en plus. Je suppose que vous savez monter à cheval ? Je vais demander à ce qu'on aille vous chercher une tenue plus...appropriée.  »  Un petit rire cristallin t'échappe. Toi ? Monter à cheval ? Plutôt deux fois qu'une. « - A crue ? En amazone ? Sans étrier ? » Ta voix se fait presque moqueuse. Bien sûr que tu sais monter à cheval. Tu adore ça. De toute façon il ne semble pas avoir besoin de ta réponse, un domestique se fait rapidement apostropher. « - Allez me chercher l'un des pantalons d'équitation de la princesse d'Ambroise, sans traîner, je n'ai pas toute la journée.  » Doucement tu ne peux t'empêcher d'ajouter : « - Pourriez-vous ajouter une chemise ? Si cela ne dérange pas la princesse de m'en fournir une. » Le domestique s'en va et tu reste seul face à cet homme que tu appellera un jour époux. Le choix du silence ou de la conversation se créé. L'un ou l'autre ne te dérange pas, tu serais bien tenter de lui opposer un mutisme pour voir si il irait lui même te parler, mais tu doute fortement de l'efficacité d'une tel technique. De même tu n'as guère envie de le laisser, seul, imposer le rythme d'une discussion. Si il doit t'épouser, tu comptes bel et bien lui montrer que tu ne seras pas un simple élément de décoration à son bras. « - Vos loups sont magnifiques, je savais que certaine personne en dressait mais je n'en avais encore jamais rencontré. » Le compliment est sincère. Tout au long de vos échanges tu as eut du mal à ne pas laisser tes yeux dérivé sur les animaux sagement assis. Une légère admiration naît en toi, dresser un animal sauvage demande plus de patience et de talent que pour un chien. De la passion aussi. Cela te plaît. Tu te tournes à nouveau vers le cheval, laissant à ton fiancé poursuivre ou non la discussion. T'occupant de l'animal et le lui laissant à son tour le choix de la conversation ou du silence.

Bientôt le calme de l'écurie est brisé par un bruit de pas rapide. Le domestique est de retours, essoufflé. Le pauvre semble avoir couru comme si les fouets de l'enfer était à ses trousses, tu le plains. Faut-il que le prince lui face si peur pour qu'il s’exécute si prestement ?  Poliment il te tends des vêtements que tu lui prend avec gentillesse. « - Merci. » Te retournant tu observe les lieux. Il n'y a guère d'endroit pour se changer dans l'écurie. Quelques bottes de foins au fond. Tu finis par jeter ton dévolu sur un box vide. Vêtements sous le bras tu t'y dirige, tu te tournes vers le domestique. « - Pouvez-vous aller préparer ma monture pendant que je me change je vous prie ? » Ce dernier s'exécute, te laissant une fois de plus seule avec ton fiancé. « - Altesse, pourriez-vous vous tourner ? » Combien même il te verra un jour nue, combien même tu partageras un jour son lit, la bienséance exigerais qu'il attende la nuit de noce pour voir ton corps dénudé. Plongeant son regard dans le sien tu attends sans cillé qu'il se détourne et te laisse ton intimité. .
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: Si une baguette défini merveilleusement bien son propriétaire, la mienne est un peux le reflet de mon âme. Faite en bois de noyer noir, elle possède en son cœur du venin de gorgone et mesure 31,5 cm montrant ainsi ma personnalité assez forte. Baguette rugueuse et rapide, je vous laisse imaginer de quoi elle est capable lors d'un combat.
patronus: Souvent assimilé à la mort, mon patronus se dévoile sous l'apparence d'un grand corbeaux aussi noir que le néant lui-même. Beaucoup pourraient penser que cet une image étonnante mais qui se marie parfaitement bien avec ma personnalité, alors que d'autres, eux, craignes le pire en imaginant cet animal porte-malheur aux significations bien sombres.
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MessageSujet: Re: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyLun 16 Mai - 20:42


Ce soir à la lune
« - L'on me dit souvent que j'ai un bien piètre talent pour accomplir ce que je suis censé faire si tôt que cela m'ennuie. » Je souris très légèrement. De par cette simple phrase elle attire ma curiosité malsaine. Il est évident que c'est de même pour moi, sinon, au lieu d'être ici j'aurais été dans ce petit salon en compagnie de son oncle et de son père. Puis, mes propres parents avaient sûrement dû les rejoindre depuis le temps. Je l'observe en silence essayant de la détailler discrètement, alors que mon regard à double couleur glisse sur ce visage angélique qu'est le sien. Elle pue l'innocence à plein nez, pourtant, son regard pétille de cette malice enchanteresse. Je ne suis pas homme à me laisser charmer. L'amour ça fait mal, l'amour c'est cruel. Alexandre m'en avait franchement dégoutté il y a de cela six ans. Encore aujourd'hui quand je le croisais, je ressentais cette cuisante douleur dans mes entrailles.« - D'ailleurs, vous-même semblez bien décidé à nous faire attendre encore un peu... Pourquoi rester au salon alors ? Aussi charmant soit-il la diversité de la décoration reste moins intéressante que les chevaux et le soleil. » Je penche légèrement la tête sur le côté face à ses paroles avisées mais peut-être trop franches pour une première approche. Venait-elle vraiment de me dire que, comme je la faisais attendre, elle avait le droit de contre carrer les plants de nos parents. Non, bien sur que non. Enfin, après tout, je suis un prince et elle est une comtesse...j'avais plus de droits qu'elle et j'en savourais chaque plaisirs. « Certes...Peut-être que de rester dans le salon aurait été mieux vu par mes parents, pour ainsi, pouvoir faire votre rencontre plus intimement avant mon arrivée. Mais soit, ce qui est fait est fait. Personnellement, je préfère de loin m'éloigner de ces discours qui m'endormes et m'ennuies. » La jeune femme semblait prendre la chose assez...à la légère ? Non, plutôt agréablement, contrairement à moi qui tirais la gueule. J'avais toujours aimé ma liberté et, suite à ces fiançailles, j'avais l'impression qu'on me foutais une corde au cou pour m'étrangler un peux plus à chaque secondes.

Je lui annonce donc qu'elle va me suivre dans ma balade, que de toute façon, elle n'avait pas le choix. Oui, autant combiner plaisir et niaiseries. « - A crue ? En amazone ? Sans étrier ? » Elle se fou de ma gueule là ? Je lève un regard dur vers elle face à ses questions. Je n'en avais que faire qu'elle sache montée à cheval d'une façon ou d'une autre, tant qu'elle tenait sur l'animal moi ça m’allait parfaitement. J'avais toujours été un excellent cavalier et l'équitation était l'un de mes nombreux hobbies. J'aimais beaucoup l'escrime, le sport, la lecture et les animaux. Sinon, mes plaisirs étaient sûrement plus obscènes. Elle s'adresse au domestique et je ne fais pas attention à ce qu'elle réclame, gardant mon regard sur elle sans jamais le détourner. Je l'observe d'une façon qu'elle pouvait croire désagréable. Non, c'était juste que j'appréciais la beauté de la femme se trouvant devant moi. Des cheveux tenus en un beau chignon, un corps assez...parfait. Oui, clairement. « - Vos loups sont magnifiques, je savais que certaine personne en dressait mais je n'en avais encore jamais rencontré. » Je détourne les yeux vers l'un des loups, posant une main gantée sur sa tête alors que Jared levait les yeux vers moi. Un sourire s'affiche sur mes lèvres bien malgré moi. « Un cadeau de mon père pour mes vingt-cinq ans. Une passion comme une autre...Ils nous accompagnerons en balade, mais sachez qu'en général ils ne me quittes que très rarement. » En gros, mes loups me suives partout et si elle n'est pas contente qu'elle aille se pendre. Le domestique revient avec les affaires de ma sœur, les tendant à ma jeune fiancée. Je lui fais un signe de tête simple et discret, lui annonçant qu'il pouvait accéder à la requête de la Comtesse. « - Altesse, pourriez-vous vous tourner ? » Je cligne plusieurs fois des yeux avant de comprendre ce qu'elle me demande. Ah oui, juste, elle devait se changer. « Je vous attendrais au bout de cette allée avec nos chevaux. » Je m'incline légèrement face à elle et je passe à ses côtés, sifflant rapidement pour que mes loups me suives et qu'ils ne restes pas sur place comme deux imbéciles.

Passant une main dans mes cheveux je soupire, essayant de me relaxer. Arrivé au bout de l'allée je vois deux chevaux tenus par le valet. Attrapant les reines de mon étalon Espagnole à la couleur moucheté, je monte dessus avec une agilité certaine. Le sang chaud de l'animal ne tarda pas à se faire ressentir alors qu'il piaffait sur place. Après quelques minutes je vois la jeune femme revenir dans mon champ de vision et m'adresse au domestique. « Prévenez vos Altesses que j'ai croisé la Comtesse dans les écuries et que nous nous en allons en balade ensemble. Excusez moi auprès des Cotes de Périgueux et dites leur que je me ferais un plaisir de les rencontrer juste après... » Pendant que je parlais Athénaïs était montée sur la jument plus calme que l'étalon mais pas moins farouche pour autant. « Vous êtes prêtes Comtesse ? » Dis-je simplement alors que le soleil caressait mes cheveux blonds, faisant briller mon regard différent de la plupart des autres.
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: D'un peu plus de trente centimètre, trente-et-un centimètre dix-huit, la baguette d'Athénaïs est d'un bois de vigne lustré, symbole à la fois de grands idéaux et de superficialité, elle porte en elle le paradoxe que peut parfois incarné la jeune femme. Finement taillé, la baguette est, comme sa propriétaire, particulièrement élégante, pourtant, son cœur en corne de farfadet est tout à fait révélateur du caractère plaisantin de la jeune fille et ne lasse pas d'étonné son entourage.
patronus: Adorable et malicieuse, symbole de pureté mais pourtant bien sournoise quand on la croise à l'état naturel. Le patronus d'Athénaïs est une hermine. Petit animal aussi agile que délicat, malin qu'adorable. Elle apprécie grandement cette image d'elle que son patronus renvoi au monde.
amortentia: Le parfum du lilas et de l'herbe fraîche, l'odeur d'une journée d'orage et celle, légère et subtile, de l'air au printemps. Une odeur douce et naturelle.
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MessageSujet: Re: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyLun 16 Mai - 23:21


Ce soir à la lune
Son regard ne te quitte pas une seconde, brûlant ta peau, poussant à la gêne. Tu as la désagréable impression d'être examiner, évoluer... C'est perturbant, mais hors de question de le montrer. Tu continue d'agir comme si de rien était. Ce genre de mariage est un plus un pacte qu'autre chose, accepter de se soumettre dés le début c'est l'accepter pour le reste de ces jours, et ça il n'en est pas question. L'air de rien tu poursuit la conversation, souriant lorsqu'il te fait remarquer qu'il est plus en droit que toi de faire attendre ses hôtes. « - Touché. » murmure inaudible, il ne fallait pas attendre d'un prince de France qu'il accepte une remarque de façon anodine, tant pis, il t'en faut plus pour te démonter... Tout comme il faudra plus d'un regard noir pour t'empêcher de te moquer. Néanmoins tu notes que la pente est glissante, peut être un peu trop pour s'y engager à présent. Ton fiancé ne semble guère partager ton sens de l'humour et tu préférerais éviter la moindre tension aujourd'hui. Heureusement la mention de ses animaux de compagnie semble le déridé. Tu apprécie un instant le sourire qui se dessine sur son visage, il est un homme séduisant, c'est indéniable. « - Un cadeau de mon père pour mes vingt-cinq ans. Une passion comme une autre...Ils nous accompagnerons en balade, mais sachez qu'en général ils ne me quittes que très rarement.   » Tu soupire, un peu envieuse. Jamais ta mère ne t'aurais autoriser à posséder un animal sauvage, même si tu aime profondément Crépuscule, ton chat, tu regrette parfois de ne pas avoir put te tourner vers des loisirs plus masculin comme la fauconnerie. « - Le privilège des hommes... » La phrase t'échappe, un soupir, un regret. « - Parfait, la compagnie des animaux n'a rien de désagréable. » Ta voix est enjouée, presque trop, mais la compagnie des deux loups t'enchante plus que tu ne saurais le dire. Encore une fois tu te retiens de le pressé de question à leur sujet. Ce serait inconvenant, surtout dans une écurie où quelques oreilles indiscrète pourrait t'entendre... Si cela remontait aux oreilles de ta mère elle ne s'en remettrait pas.

Les vêtements arrive, le prince s'éloigne. Seule dans ton box tu hôte la robe de dentelle, défaisant légèrement ton chignon au passage. Tes mouvements sont rapide, pressé. Pas que tu désire écourté l'attente du prince, jusque tu as hâte de monter à cheval. Une promenade semble finalement un bien meilleur moyen de faire connaissance qu'une longue présentation officiel où chaque parents auraient présenter les qualités de son rejeton, camouflant autant que possible les défauts pour en négocier la meilleure alliance. Avec la précision d'une habitué tu passe les vêtements d'équitation, chemise, pantalon... La tenue n'est pas complète, pas de veste, pas de gant, mais cela ne te dérange guère. Ta mère te reproche si souvent de monter à cheval comme une sauvageonne, cette phrase te fait rire, mais tu préfère ne pas abîmer de beau vêtement quand tu pars te promener en forêt. Consciencieuse tu plie la robe et le boléro que tu remettra au domestique. Enfin tu sors du box. Aussi à l'aise dans ta tenue d'équitation improvisé que dans ta robe. Le cheval du prince piaf déjà d'impatience, t’arrachant un sourire alors que tu t'approche de la jument. C'est un bel animal que tu prends le temps de flatter et de mettre en confiance avant de monter. Rien de pire qu'un animal appeuré. «  -Prévenez vos Altesses que j'ai croisé la Comtesse dans les écuries et que nous nous en allons en balade ensemble. Excusez moi auprès des Comtes de Périgueux et dites leur que je me ferais un plaisir de les rencontrer juste après...  » Ton père... ton père va avoir bien du mal à cacher sa colère, mais tu imagines déjà le sourire amusé de ton oncle. S'attendaient-ils à autre chose venant de ta part ? Tu n'ajoutes rien au discours du Prince, sachant pertinemment que sa voix portera plus que la tienne. Au fond n'est-ce-pas là la meilleure occasion pour ces chers parents de revoir le terme du mariage ? « - Vous êtes prêtes Comtesse ?  » Tu te cale mieux sur ta scelle et acquiesce. « - Ouvrez la marche. »

Les chevaux se mettent en marche, laissant derrière vous écurie et château. Tu laisse un silence s'installer jusqu'à ce que vous soyez éloigné. Ton regard se posant alternativement sur le décors, ton fiancé et ses loups. Cela fait trop longtemps que tu te retiens de le questionner. Et de toute façon tu n'as guère envie de parler de votre vie futur, les choses se dérouleront avec ou sans votre consentement alors pourquoi s'attarder dessus ? Amenant ta jument à la hauteur de ton fiancée tu éclaircit doucement ta voix. «  - Altesse ?  » Ce titre est exaspérant, tout comme celui de Comtesse... Une distance qu'il faudra pourtant maintenir pendant quelques temps. Jusqu'à ce qu'il soit jugé acceptable qu'ils puissent faire preuve d'une certaine familiarité. Le protocole à ceci d'amusant qu'il est capable de décider en un instant de qui pourra partager votre lit, mais exige néanmoins que vous attendiez le nombres de mois adéquats pour oser tenter de vous adresser à cette personne comme un membre de votre cercle intime... « - J'aimerais savoir... » Tu hésites, peut être n'a-t-il guère envie de parler de ses compagnons... Tant pis, cela fait un long moments que tu attends. « - Comment se nomme vos deux compagnons ? Les élevé a-t-il été compliqué ? Comment avez-vous fait pour qu'ils obéissent ainsi ? J'ai entendu dire qu'on ne pouvait jamais ôter d'un animal sauvage sa liberté et son indépendance. Qu'ils étaient plus compliqué d'approche qu'un animal plus domestique. »
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: Si une baguette défini merveilleusement bien son propriétaire, la mienne est un peux le reflet de mon âme. Faite en bois de noyer noir, elle possède en son cœur du venin de gorgone et mesure 31,5 cm montrant ainsi ma personnalité assez forte. Baguette rugueuse et rapide, je vous laisse imaginer de quoi elle est capable lors d'un combat.
patronus: Souvent assimilé à la mort, mon patronus se dévoile sous l'apparence d'un grand corbeaux aussi noir que le néant lui-même. Beaucoup pourraient penser que cet une image étonnante mais qui se marie parfaitement bien avec ma personnalité, alors que d'autres, eux, craignes le pire en imaginant cet animal porte-malheur aux significations bien sombres.
amortentia: L'odeur d'une fraîche matinée assimilée au sang frais coulant d'un corps sans vie après une bataille sanguinaire dans un champ de coquelicot sauvages.
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MessageSujet: Re: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyMar 17 Mai - 0:24


Ce soir à la lune
« - Le privilège des hommes.. Parfait, la compagnie des animaux n'a rien de désagréable. » Je ne relève pas la réflexion sur les hommes et nos privilèges. Car oui, il est certain que nous en avions plus que les femmes. Quoi que, ça dépendait des fonctions. Malgré la monarchie nous restions dans une époque assez libre. La preuve en étant sur la sexualité. Les femmes pouvaient dès seize ans avoir des rapports sans êtres jugées. L'homosexualité était fortement acceptée, bien que les mariages entre deux êtres du même sexe ne soit pas acceptable au point de vue magie. Néanmoins, certaines choses restaient ancrées dans nos gênes et la monarchie restait assez têtue au niveau du sexe et de certaines disciplines. Mais attention, ma cousine destinée à montée sur le trône était une femme...alors bon, je ne doutais pas que cela allait rapidement changé. Personnellement je n'avais rien contre les femmes, du coup, qu'elles ailles les même droits que les hommes ne me dérangeais absolument pas. Je suis peut-être légèrement dérangé – voir beaucoup – je n'en étais pas matcho pour autant, non, ce défaut ne faisait pas partie de ma personnalité. Ainsi, elle accepta avec un certain enthousiaste le fait que mes « animaux domestiques » resteraient régulièrement avec nous. Tant mieux, ainsi nous ne serions pas en conflit. Quoi que, elle n'aurait pas eu son mot à dire, c'est évident que ma parole pèsera toujours plus lourd que la sienne et ce même en étant mariés. Je me retrouve donc sur mon étalon qui piaffait nerveusement, impatient d'aller se défouler. J'avais toujours eu le chic pour aller chercher des animaux assez sauvages, imprévisibles ou encore dangereux. Je me retrouvais en chacun d'entre eux et ainsi, je prenais soin de les éloigner des autres. Personne n'était assez suicidaire pour monter sur ma monture, si tel était le cas, cette même personne se retrouverait rapidement les fesses sur le sol. « - Ouvrez la marche. » Je fais un signe de tête à la jeune femme tout en donnant un léger coup de talon. L'étalon réagit rapidement, bondissant légèrement en avant alors qu'il se mettait à marcher. Enfin, sautiller sur place était un terme plus exacte. J'étais totalement à l'aise sur celui-ci, ne craignant pas un écart ou encore le fait qu'il risque de se cabrer ou également de démarrer avec brusquerie. J'y étais habitué et réagirais comme il se doit si cela arrivait.

Je laisse le silence s'installer entre nous, profitant de cette clarté et ce calme pour me détendre. Mes muscles n'étaient plus aussi tendus qu'il y a quelques minutes, alors que mon assiette suivait les mouvements de l'étalon. Les loups restaient près de nous, ne cherchant pas à voyager à gauche ou à droite, attendant mon autorisation pour s'évanouir dans le paysage et ainsi se défouler dans la nature que nous offrais les terres du palais. Le terrain était assez grand et nous pouvions faire une ballade assez longues, néanmoins, les grilles magiques nous empêcherons de nous égarer vers les rues de la belle ville de Paris. Après quelques instants j'entends la jument de la Comtesse se rapprocher de moi et un toussotement discret retentir à mes oreilles. «  - Altesse ?  » Je tourne les yeux vers elle ainsi que la tête, assez légèrement, lui annonçant ainsi que je l'avais entendue mais également que j'écoutais. « - J'aimerais savoir... » Elle hésite et je hausse un sourcil. Allait-elle me poser une question indiscrète ? Du style la couleur de mon slip ou quoi qu'elle hésitait de la sorte. Cette simple pensée m'arracha un petit sourire. Je me voyais bien lui réponde ; Comtesse, vous me choquez par une telle curiosité mais il est noir avec un bel élastique vert fluo. « - Comment se nomme vos deux compagnons ? Les élevé a-t-il été compliqué ? Comment avez-vous fait pour qu'ils obéissent ainsi ? J'ai entendu dire qu'on ne pouvait jamais ôter d'un animal sauvage sa liberté et son indépendance. Qu'ils étaient plus compliqué d'approche qu'un animal plus domestique. » Oula, oula, oula. Bon, trois, non quatre questions d'un coup ça fait franchement beaucoup. Je détourne légèrement les yeux vers mes loups et gigote dans ma scelle durant quelques secondes. Elle semblait curieuse et, personnellement, je ne l'étais pas à son niveau. Je devais faire un effort, me dévoiler un minimum pour ne pas paraître volontairement méchant et détaché. J'avais promis à mes parents d'être sympathique et poli, un vrai gentleman...ce que je n'étais absolument pas dans la vie de tout les jours.

« Le mâle se nomme Jared, la femme à la fourrure pie et aux yeux vairons est Aphrodite. Jared est plus affectueux qu'Aphrodite, elle, elle est plus discrète mais tout aussi farouche... » Dis-je calmement en détournant mon regard vers l'horizon, finissant par le reposer sur la jeune femme. Nos chevaux étaient proches et je pouvais pratiquement sentir sa jambe frôler la mienne. « Pour ce qui est de l'éducation, celle-ci a été longue et basée sur la confiance et non l'apprentissage en soit. Dès leur plus jeune âge j'ai habitué ceux-ci à ma présence et seulement à la mienne. J'ai été celui qui les nourrissais, qui leur apprenais la confiance. C'est tout un processus. » Je parlais avec une certaine passion et cela se ressentais dans ma voix. « Ils restes sauvages et il m'arrive de lâcher quelques animaux qu'ils chassent. Je ne les ai pas domptés, ils ont juste appris à faire de moi l'alpha. C'est tout. Un jour je vous apprendrais comment faire, mais ça demande de la patience chose qui...apparemment vous fais défaut. » Dis-je légèrement amusé. Je siffle deux fois et le départ fut lancé. Les loups partir en courant, grondant l'un sur l'autre, assoiffé de liberté tout comme je l'étais. « J'ai également un tigre, mais lui reste dans un enclos d'une très belle taille. Mais disons qu'un félin de cette taille ne doit pas se promener seul dans le Palais, surtout avec des enfants dans les parages. »
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: D'un peu plus de trente centimètre, trente-et-un centimètre dix-huit, la baguette d'Athénaïs est d'un bois de vigne lustré, symbole à la fois de grands idéaux et de superficialité, elle porte en elle le paradoxe que peut parfois incarné la jeune femme. Finement taillé, la baguette est, comme sa propriétaire, particulièrement élégante, pourtant, son cœur en corne de farfadet est tout à fait révélateur du caractère plaisantin de la jeune fille et ne lasse pas d'étonné son entourage.
patronus: Adorable et malicieuse, symbole de pureté mais pourtant bien sournoise quand on la croise à l'état naturel. Le patronus d'Athénaïs est une hermine. Petit animal aussi agile que délicat, malin qu'adorable. Elle apprécie grandement cette image d'elle que son patronus renvoi au monde.
amortentia: Le parfum du lilas et de l'herbe fraîche, l'odeur d'une journée d'orage et celle, légère et subtile, de l'air au printemps. Une odeur douce et naturelle.
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MessageSujet: Re: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyMar 17 Mai - 19:58


Ce soir à la lune
Tu souris doucement, prenant conscience de sa gêne. Peut être n'est-il pas habitué à ce qu'on lui parler ainsi? Mais loin de l'écrin du château, du regard des domestique, de l'aura de ta famille tu te sens plus pur, plus libre d'être toi-même. Malheureusement il semblerait que ton fiancé ne soit plus porté que cela sur la discussion et son attitude gêné t'amuse. Tu l'observe s'agiter sur sa selle, son regard si particulier semblant chercher une réponse. Tu aimerais tant que cette rencontre soit moins conventionnelle. Il est indéniable que le Prince est un beau parti mais vous ne vous connaissez ni d'Eve, ni d'Adam... Comment réussir à créer une relation, un ménage à partir du néant ? La discussion pousse au rapprochement et vos jambes se frôle presque. Docile les chevaux ne semble guère déranger par la proximité avançant docilement. Tu observe les loups marchant à vos côté. « - Le mâle se nomme Jared, la femme à la fourrure pie et aux yeux vairons est Aphrodite. Jared est plus affectueux qu'Aphrodite, elle, elle est plus discrète mais tout aussi farouche...   »  Jared et Aphrodite... Ce sont de beau nom. Il te plaise et sonne agréablement à ton oreille. Au moins la compagnie des deux canidés apporteront peut être un peu de lumière à cette union programmée. Au fond tu n'as pas envie d'en être morose. Pourquoi s'acharner à détester ce qui ne peut être changer ? Autant y chercher ce qui peut y être agréable... Oh tu rêves d'amour, ce serais un bien malheureux mensonge de le nier, mais tu n'es pas sotte et si tu ne peux conquérir le cœur de ton époux, au moins gagner son respect et son amitié pourrait vous faciliter grandement votre vie. Néanmoins la passion du jeune homme pour ses animaux te donne bon espoir de vous trouver un point commun, toi qui a toujours eut le moindre animal en passion refusant même de voir tuer une araignée ou de consommer de la viande. Cependant le prince s'anime, sa voix gagne en passion alors qu'il se met à parler de l'éducation des animaux. « - Pour ce qui est de l'éducation, celle-ci a été longue et basée sur la confiance et non l'apprentissage en soit. Dès leur plus jeune âge j'ai habitué ceux-ci à ma présence et seulement à la mienne. J'ai été celui qui les nourrissais, qui leur apprenais la confiance. C'est tout un processus.  »

Tu souris. Admirant le respect qui transparaît dans son discours. C'est une chose agréable et tu en ressent d'ambler une certaine sympathie pour ce fiancé. Tu aimerais toi aussi parler de ta passion pour les animaux, de comment tu passes ton temps dans les écuries si tôt de retours à Périgueux mais tu as trop peur de donner l'impression de chercher à te raccrocher à un point commun. Mieux vaut le laisser parler, peut être finira-t-il par s'enquérir de qui tu es ? « - Ils restes sauvages et il m'arrive de lâcher quelques animaux qu'ils chassent. Je ne les ai pas domptés, ils ont juste appris à faire de moi l'alpha. C'est tout. Un jour je vous apprendrais comment faire, mais ça demande de la patience chose qui...apparemment vous fais défaut.  » La remarque sur ta patience te fait sourire. Tu ne pourrais le nier. Il semble te cerner mieux que tu ne l'imagine. Néanmoins l'idée même qu'il puisse t'apprendre à te rapprocher d'un animal sauvage t'enchante. Tu ne peux t'empêcher de répondre d'un ton où perce plus que tu ne le voudrait admiration et ravissement. «- J'en serais enchantée. » A son signal les loups partent en courant, magnifique course folle. Alors qu'il mentionne un nouvel animal que tu ne pensais jamais rencontrer un jour dans une demeure : « - J'ai également un tigre, mais lui reste dans un enclos d'une très belle taille. Mais disons qu'un félin de cette taille ne doit pas se promener seul dans le Palais, surtout avec des enfants dans les parages.  »  Un petit rire t'échappe lorsqu'il mentionne la présence du félin et des enfants. Oui tu imagine qu'il n'a rien d'un gros chat patachons qu'on pourrait laisser tranquillement dans un salon. Tu imagines qu'à lui tout seul il remplirait facilement un canapé. « - J'imagine qu'il peut effrayer oui... » Néanmoins tu serais bien curieuse de voir l'animal.

Tu observe les loups courir devant vous. Si tu étais chez toi, si tu montais Hélios tu serais déjà partit au galops mais ici il faut bien se plier à la volonté de maître des lieux. Le silence s'installe, tu en profite pour observer le jardin, écouter les bruits. Aussi grand soit l'endroit, ce n'est pas les forêt de ton enfance. On grandit ici entre les murs et le son de la ville ne peut être totalement camoufler. Sous le chant des oiseaux l'on peut distinguer les véhicules moldus. L'endroit te fait subitement penser à une bien belle cage dorée... Une fois mariée quand retourneras tu chez tes parents ? Quand pourras-tu à nouveau profiter des forêt vaste et belle ? Plusieurs dizaine de minutes s'écoulent ainsi, brisé seulement par le rythme régulier des pas de vos montures. Subitement tu le rompt d'une nouvelle question : « - Vous vous plaisez ici? » Tu ne peux parfaitement dissimuler une légère mélancolie dans ta voix. Aussi joyeuse sois-tu, tu aimes te sentir libre. Ton caractère est aussi doux qu'on le veut, tu es attachée à la région qui t'a vu naître, à la liberté que tu y as acquise, à la proximité que tu as put tisser avec les gens que tu connais. Finalement, tu décides de poursuivre sur cette voie, mettre les choses au claire un bonne fois pour toute. « - Ces fiançailles vous importunes, je me trompe? » Le prince est bien âgé pour être encore célibataire, une telle solitude est bien étrange dans le milieu de la noblesse et t'intrigue fortement. De toute façon il faut bien finir par savoir ce que pense ton futur époux de la situation. 
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: Si une baguette défini merveilleusement bien son propriétaire, la mienne est un peux le reflet de mon âme. Faite en bois de noyer noir, elle possède en son cœur du venin de gorgone et mesure 31,5 cm montrant ainsi ma personnalité assez forte. Baguette rugueuse et rapide, je vous laisse imaginer de quoi elle est capable lors d'un combat.
patronus: Souvent assimilé à la mort, mon patronus se dévoile sous l'apparence d'un grand corbeaux aussi noir que le néant lui-même. Beaucoup pourraient penser que cet une image étonnante mais qui se marie parfaitement bien avec ma personnalité, alors que d'autres, eux, craignes le pire en imaginant cet animal porte-malheur aux significations bien sombres.
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MessageSujet: Re: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyMar 17 Mai - 23:35


Ce soir à la lune
Je n'arrivais pas vraiment à comprendre comme la jeune femme pouvait rester si souriante, si avenante. Merde, on me la foutait dans les pattes, elle était vendue à ma famille de par cette union et elle, elle souriait et prenait la chose merveilleusement bien. Elle était là, me posant des questions sur mes loups et moi, poliment comme exigé par mes parents, je répondais le plus simplement possible. Devais-je lui poser des questions sur elle ? Non, sincèrement pour l'instant je n'en avais que faire de sa petite personne. Elle ne m'intéressait pas. Je voyais en elle une obligation pesante et sans avenir. J'aurais juste aimé l'envoyer balader, lui dire qu'elle pouvait rentrer chez elle, qu'elle reviendrait juste pour le jour du mariage..Mais ça ne fonctionnait pas ainsi dans notre monde. Elle étudiait à BB et, à présent qu'elle m'était fiancée, elle allait passer le plus clair de son temps au palais royale jusqu'au jour où elle allait y élire domicile à mes côtés. Peut-être qu'un jour je demanderais à ce que nous habitions ailleurs, un chez nous...loin de ce grand palais, loin de mes souvenirs, de mes blessures. Ou alors, peut-être que je partirais la laissant seule ici la plupart du temps, faisant acte de présence durant quelques jours avant de repartir vers d'autres horizons. La deuxième possibilité était sûrement la plus convenable à l'heure actuelle. Elle aurait une certaine liberté. Je pourrais même aller jusqu'à accepter des amants dans son lit, une fois qu'elle m'aura donné un héritier cela va de soit, pas besoin de bâtards dans ma lignée. Mais sinon, je pourrais entrevoir cette éventualité, partant voir ailleurs, acceptant qu'elle fasse de même avec la plus grande discrétion du monde. «- J'en serais enchantée. » Je cligne durant quelques instants des yeux, retombant sur terre face à sa réponse. Oui, je pensais déjà à demain, à dans plusieurs années. Cherchant une porte de sortie, un compromis équitable. Néanmoins, ne rêvait-elle pas d'autre chose ? Ne rêvait-elle pas d'un mariage soudé et unis ? D'enfants ayant deux parents qui s'aime comme moi j'avais eux deux personnes s'aimant plus que tout au monde. En tout cas ce fut l'image qu'ils ne cessèrent de nous donner. Deux personnes partageant leur cœur sans contrefaçons. Pour nous, ça ne sera jamais le cas. Je ne pouvais m'imaginer ressentir quoi que ce soit pour Athénaïs. Peut-être que je me trompais, peut-être qu'avec le temps j'allais changer de vision des choses, mais j'en doutais sérieusement.

« - J'imagine qu'il peut effrayer oui... » Avait-elle seulement déjà vu un animal pareil de sa vie ? J'en doutais. En tout cas avec moi des animaux elle allait en voir. J'adorais ceux-ci, plus que les êtres humains. Le silence retomba entre nous et j'en fus assez heureux. Je ne suis pas un grand bavard, surtout pas avec des personnes que je ne porte pas dans mon cœur. Elle n'avait rien fait pour, soyons clair, mais actuellement je la voyais comme une pierre dans ma chaussure. Rien de plus, sûrement moins. Malheureusement, le silence fut une fois de plus rompu par la Comtesse et je me retiens de soupirer bruyamment. « - Vous vous plaisez ici? » Je tourne de nouveau les yeux vers elle. Elle semble...mélancolique en me demandant ça. Je détourne le regard vers l'horizon, cherchant les mots juste durant quelques instants. Je n'avais connu que ce palais et les environs, voyageant parfois pour rencontrer des personnes hauts placées. Néanmoins, je m'étais souvent plongé dans mes études, cherchant un échappatoire à cette vie princière que je n'appréciais cas moitié. « Je m'y suis fais, vous en ferez autant. » Cette réponse n'allait peut-être pas lui plaire mais tant pis. Elle allait devoir vivre avec l'idée que le palais sera sa demeure, mais également l'endroit qu'elle verra le plus dans son existence. Elle ne pourra sortir que rarement, ou alors, pas sans escorte. « - Ces fiançailles vous importunes, je me trompe? » Cette fois-ci je soupire et ferme légèrement les yeux, cherchant à contenir cette mauvaise sensation de colère qui envahissait mon âme. Malheureusement, une fois que j'étais lancé j'avais clairement du mal à me contrôler. Je fais plier net mon étalon, le stoppant brusquement alors que la jument de la jeune femme suivit le mouvement par habitude. Je me tourne vers elle et plonge mes yeux dans les siens. Ceux-ci sont sombres, ils sont froids et ça ne présage rien de bon. Ma réputation me précède. Je suis impulsif, colérique, considéré par beaucoup de monde comme étant un monstre sans cœur. « Vous voulez de la sincérité ? Non, je ne suis guère enchanté par cette alliance et je ne le serais sûrement jamais. » J'avais dis-ça froidement, crûment.

« Vous ne devriez pas l'être non plus. Si vous cherchez le grand amour ce n'est pas avec moi que vous l'aurez. Je ne vous aimerais sûrement jamais, je coucherais avec vous pour avoir un héritier et quand ça sera fait et bien, il est fort probable que nous fassions chambre à part. Vous passerez de Comtesse à Princesse, certes, mais cela n'aura guère que des avantages. De part votre nouveau titre vous serez privé de votre liberté, condamné à ne jamais aimer et ne jamais être aimé. Car oui Comtesse vous n'allez pas m'aimer, je peux vous l'assurer. Ma réputation ne vous a sûrement pas échapper et laissez moi vous dire qu'elle est fondée.Je n'ai pas de temps à perdre avec l'amour ou quelconques autres sentiments enfantin. » Je ne l'avais pas quitté des yeux, pourtant, je n'en avais pas fini. « Vous allez épouser un Prince mais également un homme que vous ne pourrez jamais porter dans votre cœur, c'est ainsi, c'est cruel mais la vie est cruelle en soit. Ce mariage aura lieu, pour mon plus grand malheur. Je fais avec mais cessez de me poser des questions stupides alors que la réponse semble évidente. »
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patronus: Adorable et malicieuse, symbole de pureté mais pourtant bien sournoise quand on la croise à l'état naturel. Le patronus d'Athénaïs est une hermine. Petit animal aussi agile que délicat, malin qu'adorable. Elle apprécie grandement cette image d'elle que son patronus renvoi au monde.
amortentia: Le parfum du lilas et de l'herbe fraîche, l'odeur d'une journée d'orage et celle, légère et subtile, de l'air au printemps. Une odeur douce et naturelle.
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MessageSujet: Re: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyMer 18 Mai - 20:59


Ce soir à la lune
S'y faire... Ton regard se perd vers cet endroit clos. Tu aimes Paris et tu as suffisamment de douceur en toi pour t'adapter par tout, tu n'en doutes pas. Néanmoins s'adapter n'est pas toujours un gage de bonheur et la phrase du jeune homme ne va pas en te rassurant. Tu sais d'avance que le grand air et la forêt te manquera, que tu as beau te sentir à ton aise dans les jeux de pouvoirs ne pas aller où tu le désir comme tu le désir finira par peser lourdement sur tes épaules et que cet homme qui, de toute évidence, ne veut pas de toi finira aussi par t'apporter plus de malheur que de joie. Pourtant te résigner n'est pas dans ta nature. Tu refuse de céder à la colère ou la haine, tu préfère agir. Prenant ton courage a deux mains tu lui a demandé si ces fiançailles le dérangeait. La réponse ne se fait pas attendre. L'étalon s'arrête net, suivit par la jument. Tu le devine soupirer plus que tu ne l'entend et quand son regard bicolore se plonge dans le tien tu n'y décèle que colère et froideur. Le prince que l'on t'as décris se tient devant toi. Étrangement tu es soulagée d'avoir fait tomber le masque. Les monstres sont moins effrayant quand on part à leur rencontre. « - Vous voulez de la sincérité ? Non, je ne suis guère enchanté par cette alliance et je ne le serais sûrement jamais.  » La réponse est glaciale, mais elle a le mérite d'être franche. Peut être es-tu trop optimiste de nature ? Trop douce ? En tout cas tu l'encaisse droitement. Mais il n'en a pas fini, les mots s'enchaîne toujours aussi acéré, s'enfonçant dans ton esprit comme autant de poignard. « - Vous ne devriez pas l'être non plus. Si vous cherchez le grand amour ce n'est pas avec moi que vous l'aurez. Je ne vous aimerais sûrement jamais, je coucherais avec vous pour avoir un héritier et quand ça sera fait et bien, il est fort probable que nous fassions chambre à part. Vous passerez de Comtesse à Princesse, certes, mais cela n'aura guère que des avantages. De part votre nouveau titre vous serez privé de votre liberté, condamné à ne jamais aimer et ne jamais être aimé. Car oui Comtesse vous n'allez pas m'aimer, je peux vous l'assurer. Ma réputation ne vous a sûrement pas échapper et laissez moi vous dire qu'elle est fondée.Je n'ai pas de temps à perdre avec l'amour ou quelconques autres sentiments enfantin.   »

Tu l'écoutes vider son sac, espérant réussir à lui parler après. Pourtant il continue, toujours aussi froid, toujours aussi en colère. « - Vous allez épouser un Prince mais également un homme que vous ne pourrez jamais porter dans votre cœur, c'est ainsi, c'est cruel mais la vie est cruelle en soit. Ce mariage aura lieu, pour mon plus grand malheur. Je fais avec mais cessez de me poser des questions stupides alors que la réponse semble évidente.  » Le silence suit cette déclaration. Même si tu reste digne, la tristesse c'est glissé dans ton regards. Tu ne pleureras pas, d'ailleurs tu n'en as pas envie... Tu es juste triste de voire qu'il prend votre union avec une telle rancœur. Répondre par la colère est tentant. Une partie de toi désire presque le remettre en place. Pourtant la réponse par la haine est bien trop éloignée de ta nature. Tu détends ta main qui s'était crispé et un léger soupir t'échappe. « - Je vois... » Tu t'y attendais un peu au fond, mais tu espérais naïvement qu'il prendrait avec un peu plus de distance cette union. « - Ne croyez pas, Altesse, que je sois ravie d'épouser un homme que mon cœur n'a pas choisie. Oui, je fais partie de ses gens peut être un peu trop... enfantin qui espérait pouvoir connaître un jour la joie de fonder un foyer aimant. » Tu marques une légère pause, ta voix se calme un peu et tu reprend plus tranquillement « - Je ne vous ai pas choisi non plus, je sais que mon père est heureux de me voir accéder au rang de princesse et je ne peux guère discuter son choix. De toute façon je connais ses arguments et leurs logiques... Je n'ai pas dit que ça me ravissait, mais je n'ai pas non plus à contester sa décision. » Ta voix est toujours aussi calme, le chant d'une alouette au cœur d'un orage. « - Néanmoins, je ne désire pas vous tenir grief d'une situation que vous n'avez pas choisi. Pourquoi devrais-je entretenir envers-vous une quelconque rancœur ? Pas plus que moi vous n'avez eut votre mot à dire dans cette union. A dire vrais, j'aurais au moins espéré que nous puissions essayer de vivre en bonne intelligence de, fait oui, j'ai préféré me montrer agréable et souriante. Je ne nourris point la moindre colère à votre égard. » Comment l'aurais tu pu ? Ce n'est pas dans ta nature. Pas dans tes instinct. Tu ne cherche jamais la guerre, seul vivre en paix semble t'inspirer. «  - Je suis désolée de voir à quel point cette union vous affect et si je ne peux gagner votre amitié alors je ne vous tiendrais jamais rigueur de porter quelqu'un d'autre dans votre cœur. »

Douce, gentille... Néanmoins tu n'es pas non plus dépourvu d'un certain sens des relations. Au fond de toi tu sais également qu'il est plus difficile de gagner un combat contre quelqu'un qui refuse de se battre. En soit le calcul ne te saute pas aux yeux et il ne compte presque pas dans tes paroles car ces dernière on le mérite d'être franche. « - Néanmoins... sachez que si vous désirez jouer à un jeu de guerre entre nous, si vous désirez me faire vous haïr, je refuse de participer à ce loisir. Je préfère ne pas entretenir la moindre rancœur contre vous, eusse égard pour cet héritier que vous semblez désirer. Vous ne trouverez pas en moi une ennemie ou quelqu'un qui désire monter les enchère de la colère ou de la cruauté. » Un léger soupir t'échappe, ton regard pars de nouveau sur les loups. « - Au moins étais-je heureuse de voir que nous semblions partager la même affection pour les animaux... mais je doute que ce point commun puisse nous réunir d'une quelconque façon tant vous semblez me tenir en horreur. » Tes yeux se baisse, tu ne désire guère soutenir ce regard froid. « - Je suis désolée... Vous devez certainement préférer que je retourne au salon. »
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MALLE SECRETE DU SORCIER

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: Si une baguette défini merveilleusement bien son propriétaire, la mienne est un peux le reflet de mon âme. Faite en bois de noyer noir, elle possède en son cœur du venin de gorgone et mesure 31,5 cm montrant ainsi ma personnalité assez forte. Baguette rugueuse et rapide, je vous laisse imaginer de quoi elle est capable lors d'un combat.
patronus: Souvent assimilé à la mort, mon patronus se dévoile sous l'apparence d'un grand corbeaux aussi noir que le néant lui-même. Beaucoup pourraient penser que cet une image étonnante mais qui se marie parfaitement bien avec ma personnalité, alors que d'autres, eux, craignes le pire en imaginant cet animal porte-malheur aux significations bien sombres.
amortentia: L'odeur d'une fraîche matinée assimilée au sang frais coulant d'un corps sans vie après une bataille sanguinaire dans un champ de coquelicot sauvages.
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MessageSujet: Re: ce soir à la lune | Genesis   ce soir à la lune | Genesis EmptyMer 18 Mai - 22:22


Ce soir à la lune
« - Je vois... » J'ai été cruel dans mes paroles mais d'une franchise sans nom. Je n'en ai que faire si je l'ai blessé ou encore, si elle pense que je suis un monstre sans cœur qui mérite de crever sur place. Elle aurait sûrement raison sur le coup. Je ne souhaitais pas lui mentir, puis, la colère avait fait sortir mes paroles en continus sans lui laisser le temps de s'exprimer. J'ai le cœur qui bat plus rapidement, alors que mes muscles, eux, semblaient crispés comme pas deux. « - Ne croyez pas, Altesse, que je sois ravie d'épouser un homme que mon cœur n'a pas choisie. Oui, je fais partie de ses gens peut être un peu trop... enfantin qui espérait pouvoir connaître un jour la joie de fonder un foyer aimant. » Je lève les yeux au ciel. Pour ça elle s'entendrait merveilleusement bien avec Angélique. Les femmes ont tendances à croire au grand amour, à cette famille parfaite qui évolue main dans la main, avec de petits bambins qui courre dans tous les sens. Image futile et puérile. Je ne voyais pas ça ainsi. Peut-être avant...Oui, avant qu'il ne me brise le cœur, avant qu'il ne m'arrache celui-ci hors de ma poitrine ne laissant que cendre et amertume. « - Je ne vous ai pas choisi non plus, je sais que mon père est heureux de me voir accéder au rang de princesse et je ne peux guère discuter son choix. De toute façon je connais ses arguments et leurs logiques... Je n'ai pas dit que ça me ravissait, mais je n'ai pas non plus à contester sa décision. » Sa voix est calme et elle semble posée, nullement envahie par la colère ou la haine comme je l'étais actuellement. Que diable, ça avait le don de me foutre encore plus hors de moi. J'aurais aimé qu'elle me gueule dessus, qu'elle me manque de respect pour avoir une once d'excuses pour lui en coller une et exprimer ses vilaines manières à mes parents. Pas de chance pour moi, j'étais tombé sur la fiancée parfaite. « - Néanmoins, je ne désire pas vous tenir grief d'une situation que vous n'avez pas choisi. Pourquoi devrais-je entretenir envers-vous une quelconque rancœur ? Pas plus que moi vous n'avez eut votre mot à dire dans cette union. A dire vrais, j'aurais au moins espéré que nous puissions essayer de vivre en bonne intelligence de, fait oui, j'ai préféré me montrer agréable et souriante. Je ne nourris point la moindre colère à votre égard. » J'ai envie de me taper la tête contre l'encolure de mon étalon, de l'étrangler et de lui dire de se foutre ses bonnes manières là où je pense. Non mais c'est pas possible d'être aussi calme, elle en viendrait presque à me camer moi-même. Comme si ceci était devenu contagieux. Une maladie qui me touche, ayant pour effet un apaisement étrange et incontrôlable.

«  - Je suis désolée de voir à quel point cette union vous affect et si je ne peux gagner votre amitié alors je ne vous tiendrais jamais rigueur de porter quelqu'un d'autre dans votre cœur. » Je tique à ses paroles, détournant légèrement les yeux, espérant qu'elle ne l'aille pas vu. Oui, le fait qu'elle aborde le sujet de mon cœur et de qui pourrait entrer dedans ne me plaisais pas...parce que oui, j'en avais aimé un autre, j'en aimais également un d'une façon bien étrange et là elle appuyait sur un point bien sensible chez moi. « - Néanmoins... sachez que si vous désirez jouer à un jeu de guerre entre nous, si vous désirez me faire vous haïr, je refuse de participer à ce loisir. Je préfère ne pas entretenir la moindre rancœur contre vous, eusse égard pour cet héritier que vous semblez désirer. Vous ne trouverez pas en moi une ennemie ou quelqu'un qui désire monter les enchère de la colère ou de la cruauté. Au moins étais-je heureuse de voir que nous semblions partager la même affection pour les animaux... mais je doute que ce point commun puisse nous réunir d'une quelconque façon tant vous semblez me tenir en horreur. » Je tourne les yeux vers elle, la détaillant durant quelques secondes. Pensait-elle vraiment qu'un simple point en commun aurait pu me faire ouvrir les yeux sur ses qualités ? Non, c'était impossible. « - Je suis désolée... Vous devez certainement préférer que je retourne au salon. » Je garde le silence durant quelques secondes, ne la quittant pas des yeux, la mâchoire serrée. J'ai envie de l'envoyer bouler et d'effectivement, la congédier et lui demander de partir. Hors, j'avais prévenus nos parents que nous étions ensemble et la voir revenir seule n'aurait pas été une bonne chose pour moi. Ça aurait semblé bien mal élevé. « Si vous pensez que ma haïr peut s'avérer être un jeux, Comtesse, vous serez malheureuse d'apprendre que d'une façon ou d'une autre vous partez perdante. » Parce que oui, elle ne savait pas qui j'étais réellement, toute cette noirceur qui brûlait au plus profond de mon âme. Elle ne savait rien, vraiment rien. « Vous allez me haïr...d'une façon ou d'une autre. Que ce soit pour vous priver de votre liberté, que ce soit pour vous réclamer un héritier et puis vous laisser seule dans un lit grand et froid. Ou encore, pour cette froideur que j'aurais envers vous. C'est comme ça que ça fonctionne, que ça a toujours fonctionné. Vous allez me haïr pour vous faire un enfant et vous laissez l'entretenir seule, alors que moi, je visiterais d'autres horizons...sans vous. Parce que voilà Comtesse, je suis un Prince de sang, vous serez une Princesse par mariage. » Je la rabaissais ? Bien sûr, je ne savais faire que ça quand j'étais énervé...c'était comme un besoin foudroyant de me sentir vivant. Mais au fond, je savais qu'elle allait me détester. En avais-je envie ? Pas spécialement. « Vous allez me haïr car ça sera plus facile que m'aimer... »

Oui, là était tout le soucis. M'aimer allait la faire souffrir encore plus que de me haïr en permanence. Je détourne les yeux et fais faire demi-tour à mon étalon. « Rentrons, j'ai eu ma dose de bavardage pour aujourd'hui. » Je siffle bruyamment et les animaux se remette à me suivre alors que je pousse mon cheval au trot puis au galop, ne cherchant pas à voir si la jeune femme me suivait ou non.
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